Samedi 19 juillet 6 19 /07 /Juil 08:31

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Myriam (2009 ou 2010)

 

Je suis née le 18 juin 1996. J’ai attendu patiemment mes 18 ans, pour pouvoir raconter mon histoire sur un blog qui ne soit pas censuré.

C’était en novembre 2010 et j’avais 14 ans. J’étais au collège en classe de 3ème.

Cette fin d’après-midi là, après les cours, je devais me rendre comme chaque semaine à la danse avec une amie. J’adorais la danse classique et j’en faisais depuis la 6ème.

Nos parents nous y accompagnaient et revenaient nous chercher vers 20h chacun leur tour. Cette semaine c’était le père de ma copine qui avait pris sa voiture.

Mais, mes règles mensuelles ont débarquées plus tôt que prévu et ne pouvant évidemment danser dans cet état, j’ai demandé au papa de Mélissa de me raccompagner chez moi, prétextant une migraine.

Il me déposa gentiment à la maison. Maman n’était pas encore rentrée de son travail mais j’avais ma clé.

Fox mon Labrador bondit de joie en me voyant rentrer si tôt mais je n’avais pas la tête à jouer avec lui.

Je pris un bain bien chaud car j’avais des frissons par ce temps glacial et venteux de novembre. L’eau du bain me réchauffa. J’enfilais ma robe de chambre, de grosses chaussettes et je m’installais dans le fauteuil de ma chambre. Le fait de m’appliquer le tampax me réveilla l’envie de me toucher comme à chaque fois et je me mis à me  tripoter le clitoris et à jouer avec mon applicateur.

 

Pour expliquer un peu, je dois dire que j’ai commencé la masturbation solitaire vers 11 ans après avoir visionné un film X que ma mère avait oublié de retirer du lecteur. Elle m’a surprise en train de me caresser sur le canapé devant la télé. Je ne l’avais même pas entendu arriver tellement j’étais fascinée par le spectacle du porno. J’avais retiré ma culotte et me frottais la chatte avec la main tout en me tripotant les tétons.

A cette époque je commençais juste à avoir quelques poils blonds sur les grandes lèvres et le pubis. Ma poitrine était encore minuscule, grosse comme des œufs sur le plat.

Maman me dit simplement en me regardant d’un drôle d’air « ça t’intéresse déjà ces choses là Nadia ? » et elle regagna sa chambre sans rien dire de plus. Moi, rouge comme une pivoine je n’osais plus bouger du canapé, honteuse qu’elle m’ait surprise.

 Elle fit comme si rien ne s’était passé ce soir là et ne m’en reparla pas. 

Quelques jours plus tard elle avait du y réfléchir à la manière dont elle devait traiter l’affaire, elle me relança:

-« N’ai pas honte pour l’autre fois tu sais… Toutes les filles le font ! Moi la première ! »

Je fis semblant de ne pas comprendre et je dis -« Font quoi ? »

-« Se masturber… Se caresser les parties intimes si tu préfères, C’est naturel et normal… Depuis quand tu le fais ? J’aimerais bien que tu me le dises tu sais ! Tu le fais souvent ? » Je lui répondis que c’était la première fois et que c’était en voyant le film que j’avais eu envie de le faire et que si elle n’avait pas laissé le dvd dans le lecteur ce ne serait pas arrivé.

Je lui demandais  -« et toi tu le fais souvent ? Et depuis quel âge ? ».

Elle dit « j’ai commencé à peu près comme toi et je le fais aussi souvent que j’en ai envie car c’est naturel de le faire !

Mais gardes-ça pour toi ça ne regarde personne d’autres car c’est intime et ce sera un secret entre nous si tu veux bien ? Elle rajouta à ma grande surprise : « Si tu veux regarder d’autres films quand tu seras seule, je suis d’accord, car moi j’ai souffert de devoir les regarder en cachette et je ne veux pas que ce soit la même chose pour toi. Je te dirai ou je cache la clé du placard où je les range ». Je répliquais simplement sans rien ajouter de plus « d’accord ! » Et dans les jours, les mois qui suivirent, le X devint ma grande passion. Chaque jour je regardais un film que j’allais chercher dans le placard secret de maman et je me masturbais très souvent et même parfois plusieurs fois par jour jusqu’à mes premières relations sexuelles à 13 ans.).

 

J’étais presque arrivée à jouir quand j’entendis la clé dans la serrure. Je me réajustais très vite en me demandant pourquoi maman rentrait si tôt car il n’était même pas 17h ! Mais elle n’était pas seule. Je l’entendis qui parlait à Fox pendant quelques instants puis elle l’enferma au garage et de retour dans la pièce dit « Bon et bien je suis à votre disposition… ».

Je sors de ma chambre en glissant à plat ventre sur le parquet et du haut de la mezzanine et jette un coup d’œil à travers la balustrade, dans le salon-salle à manger juste en dessous.

Maman est assise sur le canapé et il y a trois hommes debout près d’elle. Elle porte encore son manteau et a les jambes croisées on voit ses cuisses et son porte-jarretelles.

Un homme d’environ 50-60 ans, petit, avec une moustache se trouve de l’autre côté de la table basse, face à elle sur un fauteuil. Deux autres hommes plus jeunes sont un peu en retrait: Le premier d’environ 30 ans, typé maghrébin, athlétique et un autre plus jeune, 20-25 ans, blond, mince, grand que je trouve pas mal du tout.

Le plus âgé demande aux deux autres d’installer une caméra sur pied et un système d’éclairage parapluie et de fermer les rideaux de la pièce.

Ma mère l’interpelle : « Je ne savais pas que vous alliez filmer dès aujourd’hui ! Ce n’était pas précisé ! » Il répondit « Si ! Tous les entretiens et les castings sont systématiquement filmés. Notre direction l’exige. D’ailleurs je vais vous demander de lire avec attention ce contrat que j’ai apporté et de  signer les deux exemplaires si vous êtes d’accord avec le contenu».

Je vois maman tendre la main pour saisir les feuillets et commencer à lire avec attention. Au bout de quelques longues minutes Elle dit « C’est d’accord mais juste une précision : Vous avez les droits de diffusion intégrale des images qui vont être tournées maintenant? » L’homme à la moustache répondit affirmativement « Oui les images appartiennent à la société de diffusion pour le monde entier, mais elles ne pourront être diffusées que si vous êtes d’accord et après avoir été rémunérée après le tournage et le montage des films, si vous en faites un».

A cet instant je comprends ce que ma mère fait là avec ces hommes. Elle doit tourner un film porno et ils sont là pour la tester : En quelque sorte c’est comme un casting de cinéma.

Je ressens des frissons d’excitation dans tout le corps, mais en même temps un sentiment de honte vis-à-vis de ma mère mais je suis médusée et je continue à regarder intensément la scène qui se déroule juste en dessous de moi.

L’homme à moustache dit « appelles-moi Henry et voila Kader et Mario. Toi c’est Myriam c’est ça ? (je remarque qu’il tutoie maintenant…) Je regarde un instant le dossier… Tu es plus branchée soumission et humiliation d’après le questionnaire que tu nous as renvoyé, pas trop maso…Tu n’as mis aucune restriction stricte par rapport aux scènes que tu ne souhaites pas tourner ? On est d’accord ? Il est encore temps de me le dire. Tu as lu et signé le contrat, comme tu l’as vu, je vais te faire un premier chèque et tu ne pourras plus changer d’avis ! Tu dis quoi ? »

Ma mère dit « qu’elle pensait que c’était bien clair pour elle. Elle s’était déjà engagée par écrit, avec la personne qu’elle avait rencontrée initialement pour faire ce casting et qu’elle avait accepté le principe de tourner toutes les scènes pornos qu’on allait choisir pour elle, et elle ne comprenait pas pourquoi maintenant on lui posait de nouveau toutes ces questions. »

Henry : « Ok ! Parfait ! On va commencer immédiatement alors ! Dans un premier temps, je te le rappelle, ce sera un questionnaire auquel je te demande de répondre en toute sincérité, si tu ne dis pas le vrai, tu finiras par dire n’importe quoi et on sera obligés de tout reprendre, ce que je ne souhaite pas du tout ! Nous sommes en tournage dès demain et depuis la Bretagne ce n’est pas la porte à côté ! Tu es sur qu’on ne sera pas dérangés ? On peut y aller ? »

Maman : « On ne sera pas dérangés, je vis seule avec ma fille et est à la danse. Elle ne rentre pas avant 20h30. »

Henry : « Je te pose les questions et tu réponds direct d’accord ? Ne réfléchis pas trop à ce que doit être la bonne réponse, soit sincère et ce sera réaliste! Ok ? » D accord je promets de faire au mieux. »

H : « Mario ! Moteur  caméra ! Tu as quel âge ? » - 39 ans

H : « Tu es mariée ? » - Non, mais divorcée deux fois

H : « Pas de petit ami ? » - Si mais chacun son appartement.

H : « Tu n’as qu’une fille ? Quel âge ? » - Non j’ai aussi un garçon de 10 ans qui vit chez son père en Alsace et ma fille Nadia qui aura 15 ans en juin.

H : « Elle te ressemble ? » - Physiquement ? Non pas du tout ! Moi je suis très brune et elle ressemble à son père, elle est châtain-roux.

(Maman est une femme au physique plutôt ordinaire en fait, et qui passe inaperçue. Elle est brune, les cheveux coupés courts, les yeux marrons,  pas très grande, elle est un petit peu ronde sans être obèse, sa poitrine est de taille moyenne).

H : « Justement on va voir un peu à quoi tu ressembles ! Enlève ton  manteau !  Mais tu ne portes rien dessous ! Seulement un porte-jarretelle et un soutif! Quelle chatte ! En fait, pas de rasage ni d’épilation depuis quand ?» Je laisse naturel depuis plusieurs années.

H : « Pour faire plaisir à ton mec ? - Non je trouve que ça fait plus coquine et j’aime bien comme ça.

H : « Ah bon ça te plait de faire la cochonne ?  Remarque je m’en doutais un peu quand même ! Enlève tout ! » (J’aperçois ma mère qui enlève rapidement ses bas et les portes jarretelles et qui se rassoit sur le canapé.)

H : « Ton soutif aussi. Tu ne veux pas nous montrer tes nichons ? » Elle enlève le soutien gorge sans répondre.

H : « effectivement ça tombe pas mal, mais ce n’est pas si mal que ça après deux grossesses! Ecarte les cuisses qu’on voit ta chatte comme il faut ! Ok ! Il y a de la place hein ! Tourne-toi ! Montre ton cul. Pas mal non plus! Anus très large ! Tu pratiques régulièrement la sodo ? - Oui j’aime bien tout.

H : « Vu ton cul, je pense que tu as les outils pour t’entretenir non ? -Oui, j’ai des godes.

H : « Quel genre ? » - De tout, presque toutes les tailles et toutes les formes.

H : « Je veux que tu t’ouvres la chatte en grand avec les mains quand tu réponds aux questions. Ta chatte doit toujours rester grande ouverte. C’est compris ? »  -Oui j’ai bien compris.

H : « Oui Maître ! » -Oui Maître j’ai compris.

H : « Tu as commencé à te branler à quel âge ? » - Vers 10 ou 11 ans.

H : « Quelqu’un t’a montré ou tu as eue l’idée toute seule ? - J’ai eu l’idée avec les films pornos, personne ne m’a montré sinon.

H : «  Et les godes ? » - J’ai commencé à l’adolescence vers 13 ans mais pas avec des godes, c’étaient des flacons de toilette, des bouteilles, parfois des légumes. Je ne savais pas comment m’en procurer à l’époque. Maintenant avec internet c’est facile.

H : « C’est quoi le plus gros que tu te sois mis? Quel diamètre ? » - Mon fister-gode qui fait un peu plus de 7cm.

H : « Ca remplit bien la chatte dis-donc 7cm ! Et sinon le plus gros, mais autre chose que des godes ? - Des tubes pour le rangement des balles tennis et de base-ball. La main aussi.

H : «Je vois ! Tu es une adepte du fist fucking? Mais tu commences à tacher ton canapé ! Et par le cul tu te godes aussi? » (Maman se lève pour prendre un mouchoir et s’essuyer entre les cuisses, se rassoie et elle prend soin d’écarter ses grandes lèvres avant de répondre) 

(je suis excitée un maximum de l’entendre répondre sans aucune pudeur à toutes ces questions. Mais je me dis qu’y répondre soi-même ça doit être encore cent fois plus fort comme plaisir et comme sensations).

- J’arrive parfois à me goder par derrière avec le fister-gode mais en général je me sers de mes gros godes  réalistes.

H : « Tu es vraiment une bonne salope en fait ! Mets toi allongée sur le tapis, Kader, vire-moi la table et ces chaises. Ensuite tu lui mets les pinces à seins, (Kader avec Mario enlèvent tous les meubles du tapis et ma mère s’allonge sur le dos au milieu de la pièce, ensuite Kader prend deux grosses pinces à boules qu’il lui accroche sur les tétons. Elle gémit assez fort).

H : « Mets toi assise sur ce plaid, sinon tu vas salir ton beau tapis ! Cochonne ! (Maman s’allonge sur le plaid)

H : « Tu mouilles encore plus non ? » -Oui mais ça fait trop mal !

H : « Tu vas t’habituer t’inquiètes ! Ouvre bien ta chatte ! » - Oui Maître.

H : « Tu as déjà baisé à plusieurs je suppose ? » - Oui Maître.

H : « Double pénétration ? Détailles-moi » - Oui Maître. Toutes les doubles pénétrations.

H : «  Je te dis de préciser ! » - Double vaginale, double pénétration  vagino- anale et quelquefois double anale.

H : « La totale quoi ! J’aurais plus vite fait de te demander ce que tu ne fais pas ! On gagnerait du temps je crois ! Tu es vraiment une bonne toi ! Et en plus tu aimes ça !

H : « La sucette tu pratiques bien sur ? Remarque toutes les femmes le font ! Mais est-ce que tu avales ? » - Non je n’avale pas ! Je déteste et puis il y a des préservatifs non ?

H : « Si tu avais bien lu les clauses tu aurais du voir que pour les pipes c’était sans capote ! » - De toutes façons je ne le fais pas dit ma mère.

H : « Et ta fille Nadia ? Tu crois qu’elle se branle elle aussi ? Maman a un instant d’hésitation puis elle dit : Oui je pense qu’elle le fait parfois. (Comme la question me concerne directement je commence à mouiller comme une fontaine et je mets ma main entre mes cuisses)

H : « Tu t’en doutes ? ou tu l’as vue ? Mets-toi à genoux, Kader mets-toi derrière et tu l’encules quand je te le dis Ok ? Myriam, grosse truie ! Écarte bien les cuisses et la chatte. Réponds salope !  Est-ce que tu as vu ta fille se branler ?» - Oui Maître, je l’ai vue et entendue.

H : « Et ton fils ? Tu dois l’avoir sucé quand il était plus jeune ? Toutes les cochonnes de ton genre le font ! Kader encules-la ! (Je vois Kader derrière elle qui lui passe son gros sexe plusieurs fois entre les fesses et qui s’enfonce en elle d’un seul coup jusqu’aux couilles, elle crie « - Ah c’est bon de se faire enculer comme ça ! »)

H : « Alors tu l’as sucé ? Mais dis-le salope ! Maman ne répond pas et continue à gémir très fort, tout en continuant à écarter sa chatte des deux mains ; mais je ne sais pas si c’est de douleur ou de plaisir… Certainement les deux.

H : « Mario tu lui mets le collier de chien et tu prépares le speculum » Puis il s’adresse à Kader « Attaches lui les mains avec les bracelets et tapes lui un peu sur les fesses» Kader enlève son sexe de l’anus de ma mère qui tombe, couchée à plat-ventre sur le tapis, puis il lui saisit les mains et lui attache dans le dos avec des sortes de menottes et lui donne quatre ou cinq bonnes claques sur les fesses qui la font crier, pendant que Mario lui place un collier de chien en cuir autour du cou et dépose un long objet métallique à côté d’elle.

H : « Tiens la court à la laisse Mario et toi Kader  remonte-lui les bras dans le dos, comme ça elle ne bougera plus » Il s’adresse à Myriam en lui mettant l’objet métallique juste devant le visage : »Tu connais ? Je pense que oui ! Mais celui-ci c’est la taille au dessus tu vois ? 27 cm de long et 7 cm de largeur. Pour les chevaux ! C’est fait exactement pour toi en fait ! » Elle essaye de dire quelque chose que je ne comprends pas car son collier doit la serrer.

(A ce moment là je ne supporte plus la scène et je regagne ma chambre à plat ventre et la tête dans un oreiller je commence à pleurer, j’entends à peine le bruit des voix en sourdine qui montent de l’escalier. Au bout d’un moment je me calme. Mon excitation  et mon envie de voir la suite  étant les plus fortes je retourne à mon poste après m’être complètement déshabillée)

Ma mère est toujours à genoux, allongée sur le plaid, elle ne dit plus rien, mais je l’entends d’ici respirer très fort et gémir un peu. Je vois que le gros speculum est introduit presque complètement dans son vagin et Henry, derrière elle, est en train de tourner la molette doucement. Ca dure pendant un bon moment, puis se il relève en disant : « Elle le prend quasiment entier sans rien dire ! Et pourtant il est ouvert à fond je crois ! Essaies Kader pour voir, tu as plus de force ». Ma mère avec des sanglots dans la voix dit « Vous allez me défoncer ! Arrêtez ! » Kader tourne encore 2 ou 3 fois le papillon et dit « Il est ouvert au maxi monsieur, on peut lui mettre le poing dans la chatte sans toucher les bords, une vraie jument ! ». Et il joint le geste à la parole et introduit sa main fermée jusqu’à mi-coude dans l’engin, sans forcer, sans même que son poing touche les parois en inox.

H : « Elle a l’air de bien supporter malgré tout. Myriam tu n’auras plus besoin d’écarter la chatte avec tes mains maintenant, elle restera grande ouverte toute seule ! »

Ma mère ne dit rien, elle gémit toujours un peu de façon continue, elle me fait penser à un chat qui ronronne.

(Moi je me branle comme une folle. Je m’écarte la chatte avec les deux mains, imaginant que je suis à la place de ma mère, devant ses trois hommes qui feraient ce qu’ils veulent de moi.

A cet instant je sais que moi aussi j’ai envie d’être humiliée et forcée, prête à tout pour m’exciter le plus possible, à jouir,  sans limite et sans tabou).

Au bout d’un long moment Harry dit : « Retire-lui le machin Kader » ! Kader lui enlève le speculum qui coule sur le plaid et maman toujours tenue en laisse par le cou et les mains dans le dos,  tombe à plat ventre.

H : « remets toi en levrette jolie cochonne tu vas en prendre encore ! » Maman ne dit rien. Elle se remet à genoux, les cuisses écartées et nous montre son vagin distendu et son anus sans aucune pudeur.

H : « Mario mets lui ta queue dans la bouche. Mario baisse son slip et lui met son sexe en érection devant le visage. Il tire un peu sur la laisse et ma mère happe son membre avec ses lèvres et commence à sucer avidement.

Kader lui enlève les menottes pour qu’elle puisse se tenir en avant sur les mains, il se place derrière elle et accroupi sur ses reins et lui enfonce comme tout à l’heure son énorme sexe dans l’anus. Maman a un râle, étouffé par le sexe qu’elle a dans la bouche.

Je vois très bien par derrière les fesses et l’anus poilu de Kader qui la sodomise violemment. Henry pendant ce temps a enfilé des gants en latex bleu et sans plus attendre, lui introduit le poing droit dans le vagin. Cette fois ma mère relève la tête avec une sorte de long rugissement, sa bouche ignore le sexe de Mario quelques instants pour profiter au maximum de cette double pénétration hors norme. Henry rentre très vite le poing ganté le plus profondément possible et le retire aussi vite, pendant que Kader la sodomise en un va et vient qui affole ma mère.

Elle bouge, crie se débat, dit qu’elle adore qu’elle va jouir mais dit aussitôt que c’est trop, qu’ils vont la défoncer, elle dit « assez ! je n’en peux plus » Mais je la vois reprendre en bouche le sexe de Mario qui se branle en même temps. Il la tient serré avec la laisse et par les cheveux pendant que Kader s’est tourné dans l’autre sens et continue à l’enculer de haut en bas, ce qui lui permet d’écarter les fesses de  Myriam et de voir le fisting d’Henry.

Puis Mario lâche la laisse et il tient Myriam à deux mains par le collier. Il dit « Je viens, je vais jouir, continue, suce-moi à fond ! » et je le vois agité de 3 ou 4 spasmes pendant qu’il éjacule dans sa bouche. Elle lui tient le sexe d’une main et le masturbe pendant qu’elle continue à sucer et à avaler jusqu’à la dernière goutte sans quitter Mario des yeux.

Henry sort sa main une dernière fois de sa chatte pendant que Kader prend son pied presque en même temps que Mario. Elle tombe en avant sur le tapis comme désarticulée sans un mot.

Moi aussi j’ai joui en solitaire en regardant cette scène de folie. Je file dans ma chambre et me rhabille très vite.

Quand je retourne à mon point d’observation, plus rien ne traîne dans la pièce : La caméra a disparu, les meubles ont repris leur place, Kader et Mario ne sont plus là. Ma mère qui est toujours nue discute calmement avec Henry comme si rien ne c’était passé.

H : « Je suis très content pour une première fois et je pense qu’on pourra faire un truc bien avec les prises. Et toi comment avez-vous vécu les choses ? Vous n’avez pas trop de douleurs ?

M : « Si j’ai quand même assez mal et je crois que je vais aller prendre un bon bain et me coucher tôt ce soir. Un moment avec le speculum j’ai eu assez peur, mais en fait j’ai fini par me calmer. C’est impressionnant après coup de savoir que j’ai eue toute cette longueur d’enfoncée en moi !

H : « Un peu excitant aussi peut-être ? La prochaine fois vous n’aurez plus peur car vous saurez  à quoi vous attendre !

M : « C’est obligé d’utiliser ce speculum pour juments ?

H : «  Ce n’est pas obligé, mais on gagne du temps quand on veut faire des scènes de fist. On pourrait utiliser un gros gode aussi, mais le speculum ce n’est pas souvent employé car la plupart des femmes refusent. C’est très impressionnant à voir quand tu c’est filmé comme ça, de dos et à quatre pattes. Sinon je voulais vous proposer quelque chose de personnel.

M : « Je vous écoute, dites-moi tout ! »

H : « A titre personnel, je tourne aussi du porno et j’ai un petit studio bien équipe en Belgique. Vous seriez intéressée éventuellement ? C’est très bien payé et tous les frais sont remboursés.

M : « En Belgique ? Pourquoi si loin ? Et ça veut dire quoi très bien payé ?

H : « En Belgique parce que je suis belge ! Bien payé oui mais tout dépend de la prestation ! Je recherche des scènes originales, un peu hors du commun si vous voulez, pour des publics avertis. Je ne tourne pas les films classiques qu’on voit dans toutes les productions X. J’essaie de me démarquer un peu. Les acteurs qui travaillent pour moi sont tous des amateurs dans votre genre, branchés cul que je recrute personnellement.

M : « Laissez-moi vos coordonnées et je vous contacterai pour vous donner une réponse, après avoir réfléchi et d’après les renseignements que vous me donnerez.

H : « C’est convenu comme ça ! Je vous laisse ma carte. Si par ailleurs vous avez une connaissance féminine qui est intéressée ou qui souhaite vous accompagner pour le tournage, faites le moi savoir ! Je suis toujours preneur ! A partir du moment où c’est une femme dans votre genre, sexuellement libérée qui aime prendre du plaisir tout en arrondissant ses fins de mois !

Il se leva et sorti sans que maman ne bouge du canapé. Elle avait l’air fatigué, comme si elle avait fait un marathon !

Elle se releva avec difficulté et se rendit à la salle de bain.

Au bout d’un moment quand l’eau arrêta de couler je descendis de ma chambre.

 Sur la table du salon je remarquais la carte de visite qu’Henry avait laissée.

Je notais l’adresse mail et le n° de téléphone sur mon carnet et sortis de la maison sans bruit. J’allais au café du coin ou les jeunes avaient l’habitude de se réunir. Là j’attendis l’heure où j’étais censée finir mon cours de danse en sirotant un chocolat chaud, avec des milliers de questions et d’idées dans la tête.

 

Par nadiaberg - Publié dans : ma mère
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