Depuis mes 18 ans (que j’ai eu en juin dernier) je suis majeure : J’en suis consciente et cela change tout pour moi, je me sens complètement libre maintenant ! Je peux même tourner du porno en toute légalité maintenant si j’en ai envie ! C’est vrai que depuis mes 15 ans j’étais considérée comme adulte du point de vue sexualité. La loi dit que des adultes peuvent avoir des relations sexuelles avec un(e) mineur à partir de cet âge là.
C’est Guillaume qui m’a expliqué tout ça. Avant, je pensais que quel que soit mon âge si j’étais d’accord et si j’en avais eu envie j’aurai pu faire ce que je voulais de mon corps et avec qui je voulais.
Mais non ! La loi en France l’interdit ! Je pouvais tout faire avec un mec (ou une fille) de moins de 18 ans et c‘était légal… Mais avec quelqu’un de plus de plus âgé, avant mes 15 ans, cette personne aurait pu avoir de sérieux ennuis avec la justice. Et aucune incitation à la pornographie avant la majorité ! Moi, j'étais loin du compte...
De toute façon, avant que Guillaume ne me l’explique, quand je suis allée le voir dans sa « cabane de pêcheur » je ne savais rien de tout cela, donc je ne risquais pas de raconter quoi que ce soit ! J’ai toujours été consentante pour tout ce qu’on m’a proposé et depuis très jeune... J’ai toujours été attirée par le sexe. C'est ma raison de vivre en fin de compte.
Je devais avoir 9 ans quand je me suis aperçue de l’effet que je pouvais avoir sur un homme. J’étais en vacances à la campagne dans un petit village de la Creuse avec mes parents, mon frère de 4 ans, mon cousin Willy qui devait avoir 7 ans et ma cousine Mathilde qui avait 12 ans (je me souviens précisément, car nous avions fêté son anniversaire là bas).
Mathilde, jolie rousse aux yeux verts et au visage constellé de tâches de rousseur n’était déjà plus une petite fille. Elle avait déjà une poitrine qui pointait de façon agressive sans soutien gorge sous son débardeur. Elle était réglée depuis quelques temps et s’en vantait très souvent auprès de moi.
Nous étions des enfants et elle une femme ! Je me souviens que sous la douche elle exhibait sans timidité un large triangle orange aux poils étonnement longs qui, je l’avais remarqué malgré mon jeune âge, n’avait pas laissé mon beau père indifférent lorsque il était entré un matin dans le cabinet de toilette sous le prétexte de ramener un peu de calme… (Par la suite ce prétexte se répètera très souvent…). Nous étions sous la douche Mathilde et moi et on se shampouinait chacune notre tour en poussant de cris hystériques et en riant comme des folles. Maman était allée faire des courses à la ville voisine en emmenant les deux garçons ; quand Luc, mon beau père de 26 ans en bermuda de surf et torse nu, pousse le rideau en criant "un peu de calme! Les filles".
Je vois tout de suite son regard fixé sur les seins et la foune de ma cousine qui ne faisait rien pour les cacher. Moi, je n'avais pas grand-chose à cacher, à mon grand désespoir, même si depuis quelques temps mon corps commençait à changer: Juste un peu de poitrine et des poils blonds sur le mont de Vénus et sous les aisselles. Mais malgré tout il me mate avec insistance du haut en bas pendant un bon moment. Il dit d'une drôle de voix enrouée que je ne lui connaissais pas: "Vous voulez que je vous rince la tête et que je vous frotte le dos?"
Mathilde: "Avec plaisir! Frotte-nous partout!"
Luc : « Et toi Nadia ? Tu veux que je te frotte juste le dos ou comme ta cousine? »
Moi : « Partout aussi ! Comme elle ! » Il ne se le fait pas dire deux fois et se saisit du gant de toilette et du gel douche et commence à doucement à me le passer dans le dos, mais il n’y a pas assez de place pour trois personnes dans la douche et je lui dis que j’ai peur de glisser et de me faire mal.
Luc: « Tu as raison, sors de la douche et tu vas t’installer dans la baignoire. Je serai plus à mon aise pour vous frotter chacun votre tour et comme ça tu ne risqueras pas de tomber. Attend ! Je vais te porter. » Et il joint le geste à la parole et me prend dans ses bras pour me déposer jusqu’à la baignoire. Une de ses mains, comme par inadvertance, me saisit sous les fesses et entre les cuisses. Ses doigts s’égarent dans ma vulve et mon anus et appuient contre mon clitoris. Je ressens une chaleur intense qui monte en moi, depuis mon ventre jusqu’à mes joues. J’ai les jambes coupées. Je tiens à peine debout dans le bain. Je n’ai jamais ressenti ça ! Luc s’aperçoit de mon trouble.
Luc : « ça ne vas pas Nadia ? Qu’est-ce qui t’arrive ? »
Moi : « Si, tout va bien j’ai un peu chaud, c’est tout, ça va passer. Occupe-toi de Matilde si tu veux et moi après. Elle revient quand maman au fait ? » A cette question, il se méprend sur son sens, bloque un peu, se demandant pourquoi je la pose, mais Mathilde le devance pour répondre.
M : « Ne t’en fais pas Nadia ! Elle m’a dit qu’elle en avait pour un moment et que ce n’était pas la peine de l’attendre pour le déjeuner. Elle doit emmener Paul chez le médecin. Luc a le temps de s’occuper de nous comme il veut».
Moi : (Je n’ai pas bien compris à cette époque le sens de la réponse de Mathilde, mais pour rassurer Luc que je sens inquiet suite à ma question et en le regardant bien droit dans les yeux) Ah tant mieux ! Pour une fois qu’on va pouvoir faire tout ce qu’on veut sans l’espion de maman! »
L : « oui, je vous comprends. C’est bien, de temps en temps pour des jeunes filles de se sentir libre non ? »
Moi : « Oui super ! J’adore ! Maman croit que nous sommes encore des petites filles. J’espère que tu n’es pas comme elle ! »
L : « Ne t’inquiètes pas ! Je sais très bien que vous êtes des jeunes-filles ados. Tu sais les mères sont parfois trop protectrices avec leurs filles et souvent il vaut mieux ne rien leur dire ! D’accord ? »
Moi : D’accord !
L : « Ok ! Alors je savonne d’abord Mathilde et ensuite ce sera ton tour Nadia ? » (Je réponds en hochant la tête et il rejoint ma cousine dans la cabine.)
Luc est le copain de maman depuis quelques mois seulement et jusqu’à présent je suis rarement restée seule avec lui. Pour aller faire les courses une ou deux fois seulement. Il a toujours été très gentil avec moi, sans plus. C’est un mec très brun, assez athlétique et très sur de lui dans tout ce qu’il fait. Il n’a honte de rien. Mathilde la première fois qu’elle l’a vu m’a dit qu’elle le trouvait super beau. Même si elle ne l’avait pas dit, à son regard sur lui j’avais bien compris qu’il ne la laissait pas indifférente !
C’est elle qui a tout fait pour partir en vacances avec nous cette année là, allant même jusqu’à accepter la présence de Willy son frère qu’elle supportait pourtant très mal…Dès que maman avait le dos tourné elle se rapprochait de Luc, lui posait plein de questions, etc. Mais dès que maman était là, la maline ne s’approchait plus du tout de lui… Elle savait bien que sa tante chérie risquait de faire les gros yeux très vite !
Maman à cette époque avait plus de 32 ans et la différence d’âge avec Luc se voyait nettement. Une fois Mathilde m’a dit : « alors ta mère est une couguar ? » Je ne savais pas ce que c’était… « Une femme mure qui se tape des hommes beaucoup plus jeunes qu’elle » m’expliqua Mathilde.
En y réfléchissant je me disais que ma mère devait en être une, car tous les amis qui venaient dormir à la maison étaient souvent très jeunes… Mais pour moi ça n’avait aucune importance. Mon père était parti 10 mois après ma naissance sans que je sache très bien pourquoi. Je ne l’ai jamais connu car il est mort en Bosnie pendant la guerre. Maman m’a dit que je lui ressemble beaucoup et que c’était un homme très gentil, mais que c’est elle qui ne supportait pas la solitude et ses absences prolongées. Quand je pense à lui, je ne suis pas vraiment triste car j’en ai juste entendu parler, je ne me rappelle pas de lui, j’étais trop petite. Si ma mère avait envie de trainer avec des hommes jeunes, ce n’était pas mon problème… Je m’en fichais complètement, même si parfois la nuit j’entendais des bruits, des gémissements des éclats de voix qui venaient de sa chambre. Elle avait sa chambre en bas et moi à l’étage pourtant ! Je me disais que c’étaient des trucs d’adultes, comme elle me l’avait répété de nombreuses fois, quand plus jeune je lui posais la question.
Pour le moment j’étais assise dans la baignoire, réfléchissant à tout cela qui passait dans ma tête. J’entendais peu de bruit venir de la cabine de douche à part celui de l’eau qui coulait sans cesse: Quelques chuchotements et des bruits de respiration c’était tout. Je commence à avoir un peu froid et je décide de sortir de l’eau discrètement. Nue, à quatre pattes, je jette un coup d'œil sous le rideau de la douche. Mathilde, à genoux, elle aussi de l'autre côté du rideau de la douche a le sexe de Luc dans sa bouche. L'eau ruisselle sur son visage et elle tient la queue de Luc avec ses deux mains. C'est la première fois que je vois un sexe d'homme. Je suis surprise par sa taille que je trouve énorme! Bien sur, j'avais déjà vu celui de mon frère et même celui de Willy (tous les deux on se comparait souvent notre anatomie), mais cela n'avait rien avoir avec ce que Mathilde suçait actuellement! Elle avait l'air d'apprécier d'ailleurs et je mes suis doutée immédiatement que ce n'était pas la première fois qu'elle le faisait car de temps en temps elle s'arrêtait, léchait avec le bout de sa langue, le caressait d'une main en faisant aller et venir la peau sur l'extrémité violacée. Luc aussi avait l'air d'apprécier! Il avait les yeux fermés et respirait très fort en tenant Mathilde par les cheveux ou par la nuque. Doucement je touchais une jambe de ma cousine pour lui faire signe que j'étais là. Tout en continuant à masturber l'amant de maman elle mit son index devant sa bouche tout en me faisant signe de partir et qu'elle me rejoindrait après.
J'allais dans ma chambre tout en pensant que moi aussi quand j'aurais 12 ans je pourrai certainement sucer un gros sexe d'homme. Je n'étais pas du tout choquée. Je n'avais pas l'âge, voila tout! Il fallait patienter encore, attendre d'être "plus grande".
Nue sur mon lit, je me rappelle m'être mise à quatre pattes et aussi sur le dos, un coussin sous les fesses pour m'examiner soigneusement dans le miroir de l'armoire. Je voyais l'ouverture de ma vulve avec plein de peux autours et mon petit trou. Ca me faisait du bien quand je les touchais, mais c'était encore mieux quand tout à l'heure Luc l'avait fait. Je me donnais des petites tapes sur l'anus, l'entrée de mon vagin et le clitoris. J'adorais! Pendant très longtemps ce sera ma seule façon de me masturber. Je n'en connaissais pas d'autre!
Plus tard Mathilde est venue me rejoindre dans ma chambre.
Moi: "Et Luc? Il est où?
M: " Parti faire à manger"
Moi: "Il m'avait dit qu'il me savonnerai moi aussi!"
M: "Une autre fois certainement! Ta mère ne va plus tarder à revenir! Tu sais, on ne doit jamais parler de tout cela! C'est un secret entre nous trois! "
Moi: " Oui je sais bien! Tu penses qu'elle dirait quoi, maman si elle savait ce que tu fais avec Luc?"
M: "Il ne faut pas lui dire, elle serait jalouse je pense, car elle aussi elle le fait avec lui."
Moi: "Quand j'aurais dix ou douze ans, moi aussi j'aimerais bien sucer un garçon."
M: "Bien sûr! Tu pourras même te faire niquer si tu en as envie! Mais pour ça il faut avoir du poil sur ta foune et de la poitrine! Tu veux que je t’explique comment faire pour que ça vienne plus vite? C'est comme ça que j'ai fait moi! Tu vois maintenant?" Et elle remonte sa chatte rousse et touffue d'une main.
Moi: "Oui je veux bien! Moi aussi j'adorerais avoir des poils sous les bras et sur la chatte! Niquer ça veut dire quoi?"
M: "Niquer c'est quand un garçon met son zizi dans la foune ou le trou des fesses d'une fille"
Moi: "Et ça fait pas mal?"
M: "Un peu au début mais ensuite c'est trop bon! Quand tu le fais une fois tu ne peux plus t'en passer! Tu as toujours envie de le refaire!"
Moi: "Tu le fais avec Luc?"
M: "Non pas avec Luc, il ne veut pas! Avec un copain qui a 16 ans! Luc veut seulement que je lui fasse des pipes"
Moi: "C'est quand tu suces? Tu dis "une pipe"?
M: Oui et on dit aussi "avaler la fumée. C'est quand son sperme coule dans ta bouche et tu que tu dois avaler".
Moi: "Le sperme? C'est quoi? Comme du pipi?"
M: " Non, le pipi c'est dégoutant! c'est comme de la crème. Au début j'aimais pas ce goût ni avaler, je recrachais tout! Maintenant Luc m'a appris et maintenant j'adore!"
Moi: "Et pour faire pousser les poils plus vite alors?"
M: " Tu dois te servir d'un rasoir jetable avec de la mousse à raser et te raser complètement là ou tu veux avoir beaucoup de poils. Sur les grandes lèvres de ta choune et le bas du ventre, ça s'appelle le pubis. Tu dois le refaire dès que tes poils ont recommencés à repousser, moi je le faisais environ une fois par semaine. Tu verras qu'au bout de quelques mois ton duvet blond va se transformer en poils de plus en plus épais. Un conseil! Rince bien ton rasoir et passe le à l'alcool à chaque fois. Comme ça tu n'auras pas des boutons partout. Ensuite passe toi une crème apaisante, sinon ça va te démanger."
Moi: "Quand tu fais la pipe à Luc ça ne te donnes pas envie de te toucher la foune et aussi derrière?"
M: "Si bien sur! J'ai la foune qui coule toute seule et je me caresse, parfois Luc me lèche partout! C'est ce qu'il y a de meilleur!"
Moi: "J'aimerais bien qu'on me le fasse! Qu'on me lèche partout aussi!"
M: "Ce soir j'irai te rejoindre dans ton lit quand tout le monde sera couché, ok? Mais promets que tu ne diras rien de notre secret?
Moi: "Je te promets Mathilde! Vivement ce soir!"
Voila comment ma sexualité a commencé. Grâce à ma couguar de mère et à ma chaude cousine qui m'a appris l'amour entre fille sans pénétration. Deux semaines plus tard, c'est Willy qui témoin de quelque chose, a révélé, à table, la façon particulière de fumer de Mathilde.
Luc nous a quittés sans autre explication. Mathilde a préféré finir ses vacances loin de maman. Ayant perdu ma chère cousine qui me faisait tant de bien quand tout le monde était endormi, je fis prendre le relai à Willy qui se montra particulièrement doué avec sa langue. Il n'a jamais voulu que je fume sa pipe. Avec dépit, je me contentais donc de le masturber jusqu'à ce que sa crème coule sur son ventre et je le lui léchais le mieux possible...
J'ai fait exactement comme m'avait expliqué Mathilde pour faire pousser les poils de mon pubis pendant plus d'un an, chaque semaine, systématiquement je me suis rasée. Cela était presque devenu un rituel. J'avais presque oublié pourquoi je me rasais, à tel point qu'une fois j'étais dans la douche et maman surprise de me voir en train de le faire m'a demandé pourquoi je faisais ça. Ne voulant pas lui répondre que c'était pour avoir plus de poils, je lui dis au contraire que j'aimais comme ça lisse et que ça faisait plus propre etc. Elle me répondit qu'il fallait laisser la nature faire et que c'était comme ça, que je commençais à être une femme maintenant et qu'à partir d'un certain âge il était normal que les poils poussent en même temps que la poitrine etc. etc. "Bon d'accord" je lui répondis "à partir de maintenant je ne me rase plus du tout!". Quelques mois plus tard environ j'avais ma jolie chatte avec des poils épais et blonds comme je la voulais. Mathilde n'avait pas menti! J’étais presque une femme maintenant grâce à elle
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