adolescence

Vendredi 8 août 5 08 /08 /Août 09:10

Nadia 63552 1Nadia 63552 3

 

 

Fin décembre 2010, j’ai 14 ans ½. Je viens pour la première fois rendre-visite à Guillaume le kiné de 45 ans environ qui était mon chef de stage en entreprise l’année dernière et qui dans sa « cabane de pêcheur » pratique des massages à des femmes pour leur grand plaisir (et pour le sien aussi), car il les photographie et publie ces photos de charme quand les « patientes », pour payer la prestation, veulent bien servir de modèle. J’ai assisté au « massage » d'Esther en direct, depuis le studio, grâce à des caméras disposées dans le cabinet. Je patiente en attendant Guillaume dans un salon très confortable de sa résidence secondaire. J’ai l’intention de lui poser beaucoup de questions et il m’a dit que lui aussi voulait me connaître d’avantage.

Il revient. Il est toujours en tenue médicale, blanche.

Guillaume : ça va Nadia ? Il fait chaud ici non ? Tu devrais te mettre à l’aise… (Je dois être toute rouge pour qu’il me dise ça !)

Moi : Oui j’ai chaud ! La cheminée je pense !

G : Oui la cheminée et peut être un peu la vidéo non ? (il sourit)

Moi : Oui c’est vrai… Aussi… (J’enlève mon pull que je plie sur le dossier du fauteuil) Un peu les deux,  car j’ai trouvé le massage un peu particulier.

G : Avec Esther c’est souvent comme ça. Tu voulais me parler de quoi sinon ?

Moi : J’aurais aimé vous parler de quelque chose qui m’est arrivée dernièrement et qui me perturbe beaucoup depuis. Il hoche la tête genre « dis-moi ». Voila il y a un mois environ j’étais à la maison sans que ma mère le sache et elle est arrivée, accompagnée de trois types que je ne connaissais pas. Ils ont installés une caméra et ma mère a subi un véritable interrogatoire. Au début je ne comprenais pas vraiment. L’homme qui la questionnait avait plus de cinquante ans ! Il était violent dans sa façon de lui parler, mais elle, imperturbable, continuait de répondre. J’ai compris qu’ils avaient une sorte de contrat ensemble. Elle avait promis de répondre à toutes leurs questions et de faire ce qu’il demanderait.

G : Et les autres ils faisaient quoi ? Ils assistaient aux questions ?

Moi : Oui ils étaient dans la pièce, mais ils ne disaient rien. Le plus âgé parlait à ma mère comme une moins que rien, en la tutoyant.

G : Dans le contrat dont Ils avaient parlé, il était question d’argent ? Et des scènes qu’ils devaient faire ?

Moi : Oui ils parlaient d’un chèque. Elle a bien précisé que c’était entendu avec je ne sais plus que ce ne devait pas être elle qui devait choisir les scènes. C’est là que j’ai compris qu’elle devait tourner un film porno. Mais elle avait quand même l’air étonnée qu’ils commencent à filmer le jour même.

G : Oui c’était pas difficile à deviner ! Mais toi, tu a vu ton premier film porno à quel âge ?

Moi : J’avais 11 ans. J’ai été surprise par ma mère d’ailleurs. Je me caressais en même temps et je ne l’avais pas entendu venir.

G : C’était sur internet ? Ou un DVD ?

Moi : C’était un DVD que j’avais trouvé dans le placard secret de ma mère. Elle en a toute une collection !

G : Tu sais la plupart des gens en  regardent ! Comment ta mère a-t-elle réagi ?

Moi : Sur le coup elle n’a rien dit du tout, moi je ne savais plus où me mettre ! Deux jours plus tard elle m’a dit qu’elle me donnait l’autorisation de les visionner quand je le voudrais. Elle m’a expliqué qu’elle avait dû se cacher à mon âge, pour regarder ce genre de films et ça l’avait beaucoup  frustrée.

G : Donc tu as assisté au questionnement avant casting ? Et il y a eu un peu de tournage aussi ou juste des photos ?

 Moi : Oui j’ai assisté aux questions et puis un vrai un  tournage avec des scènes vraiment porno ensuite. Pas seulement des photos !

G : Tu étais cachée ?ça ne t’a pas choquée ? Tu as réagi comment ?

Moi : Oui j’étais cachée dans la mezzanine. J’ai été choquée par certaines des questions qui concernaient la sexualité de maman. Elles étaient très blessantes, surtout quand ça me concernait. C’était difficile de regarder les scènes de sexe. Parfois ma mère semblait souffrir et c’était également très difficile à supporter. A certains moments je ne pouvais plus regarder ni entendre.

G : Il y avait des questions qui te concernaient et tu dis que ta mère souffrait ?

Moi : Oui il a demandé mon âge à maman, comment j’étais, si je lui ressemblais. Est-ce que je me masturbais et si elle m’avait vu le faire etc. Il a même demandé si elle suçait mon frère ! En ce qui concerne le tournage, elle disait qu’elle avait mal lorsqu’ils lui ont mis une sorte de bec de canard dans le vagin, comme chez le gynéco, mais beaucoup plus gros !

G : C’était certainement un speculum pour les juments ou les vaches ! Pour ton frère elle a répondu quoi ?

Moi : Pour mon frère elle n’a rien répondu du tout. Pour moi elle a dit que je me masturbais et qu’elle m’avait vu le faire.

G : Tu te masturbes depuis quel âge, au fait Nadia ? Tu savais que ta mère te regardait ?

Moi : J’ai commencé à 11 ans, en regardant les films pornos. Oui j’avais remarqué que parfois quand j’étais dans la baignoire elle me regardait me caresser. Elle ne voulait pas que je ferme la porte.

G : Tu es précoce mais bon, tu n’es pas la seule tu sais .Et tu te  branles souvent ? C’est cela qui te pause problème ?

Moi : Je me branle presque tous les jours et même plusieurs fois au cours de la journée si je regarde un film très excitant. Ce qui me pause problème, c’est que d’entendre ma mère répondre à toutes ces questions ça m’a beaucoup perturbée, mais en même temps j’ai aimé ça… ça m’a énormément excitée, beaucoup plus que de visionner un film X et je vous l’avoue je me suis masturbée comme une folle à ce moment là. Je n’en pouvais plus !

G : Et de la voir ? Je suppose que c’était la même chose ?

Moi : Oui ! Insupportable parfois, mais en même temps trop excitant ! J’avais même envie d’être à sa place.

G : Je peux comprendre ça ! C’est parfaitement humain ! Tu aimerais aussi faire du porno alors?

Moi : Oui j’y pense sans cesse depuis ce jour là. Mais comme je n’ai jamais fait l’amour ! J’ai juste vu plein de films.

G : Tu es vierge alors ? Et pourtant ton plug anal ?

Moi : On ne peut pas dire que je suis vierge car je me gode.

G : C'est-à-dire ? Tu en as acheté?

Moi : Non à force d’aller dans le placard secret de maman j’ai fini par trouver une malle dont le cadenas à chiffre était resté ouvert. A l’intérieur il y avait son Vanity rempli de sex toys ainsi qu’une boite avec des photos et une clé USB avec des centaines de photos numérisées.

G : Tu avais quel âge quand tu les as trouvés ? C’était quoi comme genre de godes ? Tu les as tous essayés? C’était quoi les photos ?

Moi : J’avais 12 ans et quelques. J’ai commencé par les vibros et des godes de petite taille et puis j’ai augmenté petit à petit. Maintenant je me les mets tous. Pour les photos ce sont des vieilles photos pour la plupart. Certaines de ma mère nue quand elle était jeune et aussi de ma tante. La clé USB je l’ai juste transférée sur mon PC.

G : Il faudrait que tu regardes les fichiers ça peut être surprenant ! Est-ce que tu te godes aussi par derrière ?

Moi : Oui parfois quand je suis très excitée  avec des petits plug.

G : D’habitude les filles commencent par faire l’amour et ensuite elles se godent. Toi tu as fait l’inverse ! Comme quoi rien n’est impossible dans le sexe!

Moi : Peut être que je ne suis pas normale d’aimer autant le sexe ! L’année dernière j’ai failli faire l’amour pour la première fois de ma vie juste après le stage avec vous. On est tombées sur une soirée chez une femme divorcée et je croyais bien que j’allais enfin le faire ! Mais non j’ai juste eue droit à une suce !

G : C’était dans le coin ? Raconte ! Je lui raconte l’anniversaire de Nina quand j’étais accompagnée de Samia etc. etc. Il réplique immédiatement : Mais je les connais ces filles ! Melissa, l’infirmière libérale c’est une nana que j’ai eue en stage quand elle était en 2ème année d’infirmière. C’est une très jolie fille brune! C’est une bonne aussi elle !  J’ai pitié de son pauvre mari ! Elle vient me voir ici en soins de temps en temps. Mais c’est surtout pour des photos. Elle adore poser ! Je l’appelle l’infirmière aux ongles bleus ! Nina c’est une cadre de l’école d’infirmière de la croix rouge Je la connais car j’ai fait partie plusieurs fois du jury d’examen. Elle, c’est carrément une folle du cul ! Il parait qu’elle se fait même sauter par son chien !

Moi : Son chien ? C’est possible ça ? Je ne vous crois pas !

G : Si ! Certaines femmes pratiquent… Elles disent que c’est encore plus fort qu’avec un mec !

Moi : Mais les chiens ont une toute petite quequette !

G : Détrompes toi ! En temps normal oui, mais lors de l’accouplement ils ont un os pénien et ça leur fait une énorme boule trois fois plus grosse qu’une queue de mec ! La preuve c’est qu’ils restent collés pendant le rapport sexuel !

Moi : Les filles restent collées au chien ? Quelle horreur !

G : Mais non ! Ils restent collés avec les chiennes pas avec une femme.

Moi : Berk ! Ça doit être trop dégoutant ! Vous en avez déjà vu faire ça ?

G : Non pas en vrai juste dans les films. C’est choquant c’est vrai mais très excitant également. Un peu la même chose, je pense que quand tu assistais au casting de ta mère.

Moi : ça dégoute mais en même temps on a envie de voir alors ?

G : Oui. En fin pour moi c’est comme ça ! Peut être que pour toi ce serait différent !

Moi : C’est difficile à imaginer sans avoir vu.

G : Si tu veux on pourra en regarder un la prochaine fois quand tu reviendras ?

Moi : Pourquoi pas ? Mais je croyais qu’on devait faire des photos aujourd’hui ?

G : Maintenant ? J’aurais préféré faire des extérieurs aux beaux jours !

Moi : Vous ne voulez pas me prendre comme modèle en fait ?

G : Vu ton âge…Si tu avais plus de 15 ans il n’y aurait aucun problème !

Moi : ça change quoi que j’ai 15 ans ou pas ? Vous m’aviez dit que je faisais 17 ou 18 ans !

G : ça change tout au contraire par rapport à la loi !

Moi : Vous savez presque tout de moi maintenant ! Vous n’avez pas confiance ?

G : Pas tout ! Mais beaucoup c’est vrai ! Alors tu veux vraiment faire des photos ? Tu veux devenir mon modèle ?

Moi : Oui j’ai envie de ça depuis que vous m’en avez parlé l’année dernière ! J’y pense tout le temps !

G : Et tu t’engages à ne rien dire à personne ? Tu promets ?

Moi : Oui évidemment!

G : Ok. Je peux te poser une question très personnelle Nadia ?

Moi : Bien sur allez-y !

G : Ce sont quel genre de scènes dans les films X qui t’excitent le plus ?

Moi : Quand les mecs ont des gros sexes j’adore ! Ça me donne envie de sucer ! J’aime beaucoup les films où les filles se font un peu forcer et où il ya plusieurs mecs avec juste une fille, ce genre là.

G : ça s’appelle l’humiliation ou la domination. Et le sado-maso ?

Moi : Non pas du tout ! Je ne peux même pas regarder ! Je suis trop douillette.

G : Tu te vois faire quoi dans un film X ?

Moi : Je ne sais pas trop ! Je ne sais pas si on a le droit de choisir. Je pense que je préférerai qu’on me dirige au fur et à mesure et si vraiment certaines scène ne me plaisent pas, je ne les ferai pas, c’est tout !

G : Tout dépend du contrat. Peut être que tu peux le savoir en contactant le type qui a fait le casting de ta mère ? Si tu as accès au placard secret comme tu dis, il doit bien avoir des références ou une adresse de contact quelque part.

Moi : J’ai copié son adresse mail qui était sur sa carte de visite qu’il avait laissé, après qu’il soit parti.

G : Ah d’accord ! Petite maline ! Tu avais déjà une petite idée derrière la tête alors ? Tu pense le contacter alors ?

Moi : J’y avais pensé c’est vrai mais si je suis déjà trop jeune pour faire des photos de charme avec vous, alors je ne pense pas que ça servira à quelque chose de le contacter dès maintenant ! En plus je crois que c’est en Belgique !

G : Tu peux le contacter quand même, tu verras bien sa réaction ! Juste pour un pré-casting ou un entretien. Ce n’est peut être pas obligé d’aller en Belgique. Il est venu pour ta mère, il doit surement revenir de temps en temps dans la région ! Je pourrai te conduire à droite et à gauche si ce n’est pas à l’autre bout de la France !

Moi : C’est gentil ! (En souriant) je devrais faire quoi pour ça ? Des photos de moi que vous publierez ?

G : Par exemple ! Mais attention ce ne sont pas que des photos soft et de charme !

Moi : Je m’en doute ! Vous oubliez que j’ai vu ce que vous avez fait à Esther tout à l’heure !

G : Ce que Sabrina m’a demandé de faire plutôt !  Mais j’ai l’impression que tu es jalouse Nadia !

Moi : Je ne pense pas que je pourrai faire ça !

G : C’est normal ! Vous n’avez pas le même âge non plus et elle a des prédispositions.

Moi : Comment ça des prédispositions ?

G : Elle a un vagin large naturellement et a eu trois accouchements ! (Je ris) Pourquoi ris-tu ?

Moi : Je pense à ce que m’avait dit Nina le jour de son anniversaire quand nous étions toutes les deux à poil sur son canapé avec Samia. « Tu es comme moi naturelle, tu es encore très jeune mais il suffit que tu écartes les jambes pour que ça s’ouvre naturellement ».

: A ce point là ? C’est vrai que j’avais remarqué lors de ton massage que tu ne t’épilais pas, mais rien d’autre de particulier.

Moi : (En souriant) En ce moment au contraire je suis comme une petite fille et peut être que je m’amuse trop avec les sex toys ?

G : Tu es complètement rasée ? Humm je suis curieux de voir. Tu es trop gourmande avec la taille des godes ! Comme maman !

Moi : C’est vrai vous voulez voir ? Je suis capable vous savez !

G : Ok fais moi voir ça alors ! J’enlève mon petit haut en soie et dégrafe mon pantalon (je me souviens seulement à cet instant que j’avais enlevé le string pendant que je regardais Sabrina sur les écrans). Je fais comme si de rien n’était et je pose le pantalon. Je commence à dégrafer mon soutif. Tu n’avais pas mis de culotte petite cochonne ?

Moi :(Je joue le jeu) Je me doutais que vous finiriez par me demander de me déshabiller alors j’avais prévu !

G : Je vois cela. Tu es très perspicace pour une fille de ton âge ! Fais voir comment ça s’ouvre naturellement alors ? Je me mets accroupie sur le fauteuil, face à lui et j’écarte les jambes le plus possible en plaçant mes mains derrière ma tête Ah oui ! Pas mal ! Tu es très ouverte ! Effectivement une très belle vue. J’aimerais bien te voir avec tes godes ! Tu serais d’accord ?

Moi : Je ne l’ai jamais fait devant quelqu’un jusqu’à présent. Mais de toutes façons je ne peux pas les amener toute une après midi, ma mère risque de s’en apercevoir.  

G : Ce n’est pas un problème ça ! Si je t’en fourni tu le feras ?

Moi : Les godes ils sont à qui ?

G : à personne, ils seront neufs. Tu pourras même te les choisir sur un site spécialisé du net si tu veux !

Moi : Non je préfère que vous les choisissiez vous-même. Mais j’ai quoi en échange ?

G : Tu ne perds pas le nord toi ma petite salope ! Je t’aiderai pour tes démarches si tu veux faire du porno. Je peux même te faire rencontrer un très beau mec, bien monté pour faire ce que tu as envie avec lui. C’est d’accord ?

Moi :D’accord ! Je peux me rhabiller ? Ou vous voulez encore voir ?

G : Puisque tu insistes : Tourne, reste accroupie et écarte bien le cul de manière qu’on voit au fond de ta chatte et ton joli petit trou. Reste comme ça je vais chercher l’appareil photo. Je reste sans bouger, le nez dans le dossier du fauteuil, les fesses en l’air, bien écartées comme il me l’a demandé jusqu’à ce qu’il revienne. Puis il me mitraille de flashs en m’indiquant au fur et à mesure les poses à prendre. C’est très excitant et très vite je suis toute humide, ce que Guillaume remarque très vite. G : C’est excitant de s’exhiber ainsi ! N’est-ce pas Nadia ? Tu mouilles au bout de 3minutes ! Je sens qu’on va pouvoir faire de très belles choses ensemble, pour notre plaisir à tous les deux !

Ensuite il me dit qu’il veut prendre quelques clichés de charme dans la douche. Je suis très contente d’être arrivée à mes fins ! « Ce que femme veut… Dieu le veut ! »

Nadiao83dNadia133d

 

Par nadiaberg - Publié dans : adolescence
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 5 août 2 05 /08 /Août 08:56

 

 

 

 

 

 

Sabr dsc01Sabr dsc8Sabr dsc04

Esther 15/12/2010

 

De haut de mes 18 ans que je viens d’avoir en juin 2014, je me souviens qu’en 2010, après l'été où j’ai passé de belles vacances en famille à Oléron (nous avons une maison de famille qui appartient à mon grand père) il ne s’est pas passé grand-chose. 

A la rentrée la routine a repris, j’avais 14 ans ½  j’étais en 3ème au collège et j’avais retrouvé la plupart de mes amis. Avant Noël je décidais d’envoyer un petit coucou par mail à Guillaume (le kiné avec qui j’avais fait mon stage découverte des métiers l’année précédente). Je ne savais même pas s’il se souvenait encore de moi ! Contre toute attente il me répondit dès le lendemain en me demandant si j’allais bien, et en plaisantant, me dit que si j’avais besoin de ses services pour des massages, qu’il était toujours disponible pour moi. Même chose si j’avais toujours envie de faire des photos. Dans la foulée je répondis en lui disant que je n’avais rien oublié des promesses que j’avais faites et que je voulais bien aller visiter sa «cabane de pêche », Mais vu le temps en ce mois de décembre, je n’avais pas trop envie d’y aller en scooter, mon seul moyen de locomotion !

Il me répondit que si j’étais libre le mercredi après midi suivant, quelqu’un (que d’ailleurs je connaissais) pourrait me prendre vers 15h00 au centre ville et m’amener à "sa cabane" pour visiter son installation. Je demandais qui pouvait bien être cette personne que je connaissais et qu’il connaissait aussi et qui lui rendait-visite ? La réponse de Guillaume fut : Tu verras bien !

Un peu intriguée, j’attendis donc mon « taxi » dans un café du centre, car il faisait un froid humide en cette fin décembre, même si j’avais écharpe et manteau ! Effectivement je connaissais cette femme de 38 – 39 ans qui venait à ma rencontre. Elle s’appelait Esther, c'était une patiente de Guillaume dont je m'étais occupée un peu pendant mon stage. Il me semble qu’elle avait raconté une certaine fois ou nous déjeunions à la même table, que sa mère était espagnole et que son mari était souvent en déplacement car il était gendarme. Elle parlait aussi très souvent de ses enfants et je l’avais sentie stressée et même un peu triste.

C’est une femme très brune, de taille moyenne, bien proportionnée que je trouvais encore super bien même après ses trois grossesses.

Elle était aussi un peu surprise de me retrouver et me demanda si je revoyais souvent Guillaume.

depuis le stage etc. Je répondis que non je ne l’avais jamais revu depuis…Elle me dit qu’"Elle le voyait une fois par semaine en moyenne à sa " cabane de pêcheur" pour des massages du dos, car au cabinet elle n’aimait pas trop, ne se sentant pas vraiment à l’aise vis-à-vis de ses connaissances, le secret médical n’était pas toujours très bien gardé. Tout le monde regardait tout le monde ». Je trouvais ça un peu bizarre comme arguments, j'avais l'impression qu'elle essayait de se justifier... Mais bon!

Nous arrivons chez Guillaume, c’est une très belle propriété, pas du tout une cabane comme je me l’imaginais. C’est une maison en bois style maison nordique au milieu d’un terrain planté de grands arbres, bordé par des étangs. « La cabane du pêcheur » est indiquée sur un panneau de bois. C’est le nom du lieu-dit et de la maison tout simplement.

Guillaume nous attend dans la maison. Il semble content de me voir et me fait la bise, ainsi qu’à Esther. Il me dit :

Guillaume : Dis-donc ça fait un moment que je n’avais plus de nouvelles ! Mets-toi à l’aise Nadia et patiente ici si tu veux bien, j’installe Esther et je reviens ! Sers-toi à boire quelque chose ou un thé si tu en as envie, la bouilloire est prête.

J’enlève mon manteau et mon écharpe Il y a un feu dans la grande cheminée de granit et c’est tout à fait agréable. Je m'installe dans un fauteuil et je me sers un thé. Guillaume revient très vite. Il me dit de prendre ma tasse et de le suivre. Nous entrons dans une pièce où il est marqué « privé » sur la porte. Il n’y a pas de fenêtre dans cette pièce, mais plusieurs ordinateurs ainsi que des appareils photos et aussi d’autres appareils électroniques dont je ne connais pas l’usage, plein de fils partout.

Guillaume : C’est mon labo photo et de mixage. Je vais t’expliquer. Tu promets de garder le secret ? Je promets.

Regarde ! Il allume un interrupteur et sur l’écran d’un ordinateur nous voyons ce qui se passe dans toute la salle de massage. Tout est filmé et on peut apercevoir Esther qui est allongée en culotte sur une table de soins. Il clique sur un autre bouton et cette fois c’est filmé depuis le plafond, juste au dessus de la table.

Guillaume : Tu vois on peut passer d’une caméra à l’autre quand on veut, ou même en même temps sur les deux ordinateurs. Avec ceci tu peux zoomer les caméras comme tu veux. Et même prendre  des photos en même temps. La résolution des images est de qualité professionnelle !

Moi : Pourquoi vous vous filmez en train de masser ?

G : Pour préserver mes arrières ! Certaines patientes souhaitent toutes sortes de massage Mais imagine qu’un jour elles en parlent et regrettent etc. Tu sais parfois on ne sait pas ce qui peut se passer dans la tête des gens ! Moi j’ai les preuves qu’elles étaient consentantes ! Et même demandeuses !

Moi : Et il vous est déjà arrivé de devoir vous en servir ?

G : Non ! Et j’espère bien que ça n’arrivera jamais !

Moi : Et il y a beaucoup de personnes qui viennent plutôt ici qu'au cabinet?

G : Oui pas mal. Mais il y a le bouche à oreille et j’ai des amis ou de la famille qui viennent aussi.

Moi : Il y a davantage de femmes que d’hommes je suppose ?

G : Oui environ 80% de femmes.

Moi : Tout à l’heure Esther me parlait de secret médical qui n’était pas top par rapport à la discrétion?. C’est pour cela que les gens préfèrent venir ici je suppose ? Mais ici les gens peuvent aussi se  croiser non ?

Guillaume : Non, ici c’est beaucoup plus discret par rapport au cabinet où chacun peut voir qui

s' y rend , quand et pour combien de temps. Ici,  je  fais en sorte d’espacer mes rendez-vous pour justement éviter que certaines personnes  ne se rencontrent. Je ne prends que quelques rendez-vous par jour tu sais. Et encore pas tous les jours !

Moi : C’est quel genre de massage ?

Guillaume : La plupart du temps ce sont des contractures des épaules ou du dos dues au stress.  Du massage de confort. Mais je m’adapte au désir des patientes. Ça peut évoluer au fur et à mesure des séances car pour certaines personnes il faut du temps pour se laisser aller et se relâcher complètement. Je pratique également des massages lymphatiques et aussi des massages à 4 mains.

Moi : A 4 mains ? C’est-à-dire ?

G : Nous massons à deux, avec un collègue quand c’est demandé par les patients.

Moi : Esther c’est pour quoi alors ?

G : Esther c’est un peu particulier. C’est une des patientes que je vois le plus souvent.  Avec elle, on se connaît depuis longtemps ! Elle n'étai même pas encore mariée. . Je ne sais pas si tu le sais, mais son mari est gendarme mobile.  (Je fais signe « oui » de la tête) Il lui a fait 3 gamins et il ne rentre à la maison qu’une ou deux fois en weekend par mois car il a été affecté en Lorraine. Elle n’a pas voulu suivre, car ses parents sont ici en Bretagne.

 La conséquence de cette solitude, c’est qu’elle est en permanence connectée sur internet sur des tchat, des sites de rencontre ou sur les réseaux sociaux. C’est une femme intelligente mais hyper stressée, très branchée cul, en manque constant de sexe, vu l'absence de son mari mais qui en fin de compte ne passe jamais réellement à l’acte. Elle tchat sur des sites dont elle n’a même pas voulu me dire les noms, alors que d’habitude elle parle facilement d’elle-même. Elle s’y exhibe en se masturbant et prend du plaisir à se faire  humilier devant sa webcam, Elle m’a avoué tout ça un jour de grosse déprime !

Elle vient ici pour le confort des massages, la relaxation, le besoin de caresses et souvent plus...Elle est difficile à satisfaire la plupart du temps, car elle a un vagin large naturellement. Après trois accouchements, ça n’a évidemment pas amélioré les choses !

Mais elle sait qu’elle peut complètement avoir confiance en moi (ce qui est le cas de tous mes patients d’ailleurs).  Mais je dois y aller, sinon elle va cramer sous la lampe là ! Tu peux visionner ce qui se passe si ça te dit ! Pour le son tu cliques sur le sigle HP sur l’ordi.

Moi : Juste une dernière question ! Pourquoi me raconter tout ça ? A moi ?

G : (en souriant) Parce que toi tu es obligée de respecter la déontologie du secret médical ! Et en plus je connais un de tes secrets aussi. Donc je ne pense pas que tu voudrais que tout le monde soit au courant ?

Moi : Quel secret ?

G : Ton joli bijou intime ! Au fait, tu le portes encore ?

Moi : Non pas aujourd’hui. Quand je reviendrai vous voir un jour pour me faire masser peut être que je le mettrai ! Mais moi aussi je peux dire que j’ai un secret vis-à-vis de vous !

G : Ah oui ? Dis-moi ça !

Moi : Mon âge !

G : C’est vrai ! Tu as raison ! C’est difficile pour moi de m’imaginer que tu n’as même pas encore 15 ans. Je te vois comme une jeune femme de 17 ou 18 ans ! Je t’assure que c’est vrai ! Quand elle sera partie on discutera tous les deux si tu veux bien ! Il y a tellement de choses que je voudrais savoir sur toi ! Bon cette fois j’y vais car Esther commence à s’agiter un peu ! D’accord pour me prendre comme confident ?

Moi (en souriant) : Pourquoi pas ? J’adore le jeu de la vérité !

Guillaume me cligne de l’œil en sortant. Sur l’écran on distingue Esther qui se tortille sur la table de massage. Elle doit commencer à s’impatienter. Je la vois s’asseoir et baisser légèrement sa culotte, se passer la main entre les cuisses et se lisser le pubis à plusieurs reprises. Je remarque d’ailleurs que sa toison est moins brune que ses cheveux ! Je me dis qu’il y a surement autant de fausses brunes que de fausses blondes en fin de compte !

Je m’installe devant les écrans et j’aperçois sur l’écran  Guillaume entrer dans le cabinet. Je clique sur HP comme il m’avait expliqué et là j’entends clairement Esther dire :

S : Dis donc tu as été long ! J’ai cru que tu m’avais abandonnée pour la petite Nadia! Jolie petite blonde je trouve ! Au fait vraie blonde ? Peut être difficile à déterminer, vu son âge !

G : Mais je n’en sais rien moi ! Je ne les prends pas au berceau ! Elle revient simplement car elle doit faire un point avec moi par rapport à son rapport de stage de l’année dernière!

S : Ne t’inquiètes pas Guillaume ! Je serai discrète sur ce coup là ! Ajoute-t-elle en riant

G : N’importe quoi toi ! Tout le monde n’est pas obsédé comme toi ma chérie ! Au fait on fait quoi aujourd’hui ? Massage du dos et des trapèzes ? Et ensuite on passe aux choses sérieuses ?

S : Je suis assez longtemps restée sous la lampe et cela m’a bien décontractée. C’est suffisant. Elle enlève sa culotte et la met en boule, puis la jette vers le porte-manteau à l’autre bout de la pièce Je préfère passer aux choses sérieuses tout de suite, mais très progressivement si tu veux.

G : Ok comme tu veux ! On installera les étriers ensuite. Pour le moment installe-toi sur le ventre et écarte un peu les jambes et plie les genoux.

Sabrina s’allonge sur le ventre comme l’a demandé Guillaume. Je zoome avec la caméra qui filme de dos, dans l’axe de la table, vraisemblablement depuis le haut du mur. Je suis aux premières loges ! Immédiatement je vois qu’elle ne s’est épilée que l’anus, alors qu’elle a laissé tout le reste naturel. J’essaie de comprendre pourquoi mais je ne trouve aucune réponse à cette manière de faire si bizarre.

Guillaume prend un flacon d’huile et s’en verse dans les mains. Il a baissé la table de façon très basse pour pouvoir s’asseoir derrière Sabrina et travailler des deux mains. Il commence par lui masser les hanches, la taille et les fesses de façon symétrique en descendant sur le haut des cuisses. Puis les doigts tendus, il lui passe les mains entre les fesses, de haut en bas, tout en les écartant.

G : Ca va ? Je ne vais pas trop vite ? Tu commences à bien te laisser aller ?

S: Oh oui ! Je commence à bien me lâcher! Continue à m‘ouvrir le plus possible!

G : OK mais tu dois écarter d’avantage les jambes et cambrer le bas du dos pour ressortir les fesses ! Ne te crispe pas Esther ! Laisse-toi aller !

Elle ne dit plus rien et essaie de faire du mieux possible ce que Guillaume lui a demandé. Ce dernier  continue à lui ouvrir les fesses et l’entrecuisse de ses deux mains, paumes vers l’extérieur.

Maintenant je distingue très bien par la caméra du plafond qu’au moment où il lui passe les mains entre les fesses il fait pénétrer simultanément les 4 doigts de chaque main, en tirant le plus possible. Je vois l’anus puis le vagin s’ouvrir de plus en plus largement à chaque passage sous ses doigts. Esther commence à entamer une sorte de râle et de gémissement profonds.

S : Ah oui ! Je suis prête là ! Installe les étriers je t’en prie ! Et elle se couche sur le dos en se massant les seins.

G : ok ok ! Ma belle ! J’attendais juste que tu me le demande ! Je les monte tout de suite. Il se penche sous la table déplie les étriers et les porte cuisses qu’il installe de chaque côté. Esther n’attend même pas qu’il ait complètement fini pour poser les jambes dessus. Dis donc ça presse on dirait aujourd’hui ?

S : Je suis trop excitée depuis deux jours ! Hier soir je n’ai pas réussi à me satisfaire. Impossible de me faire jouir seule.  Elle écarte les étriers et les porte-cuisses le plus possible tout en repliant les genoux C’est bon là Guillaume ? Je ne peux pas écarter plus. Elle tremble légèrement.

G : Oui c’est super ! Beaucoup de mecs que tu connais aimeraient bien avoir la même vue que celle que j’ai en ce moment !

Il lui appuie sur le ventre avec sa main gauche et en même temps commence à faire pénétrer les doigts tendus de sa main droite tout doucement, sans à coup, jusqu’à ce qu’elle soit complètement introduite dans son vagin. Sabrina reprend son gémissement.

G : Aujourd’hui tu as vu, pas besoin de gel !

Devant mes écrans, je suis dans un état d’excitation indescriptible… J’ai envie d’enlever mon jean pour me caresser, mais craignant le retour inopiné de Guillaume, je me contente de laisser la ceinture ouverte après avoir enlevé mon string et l’avoir fourré dans ma poche. Et me voila en train de me masturber en regardant cette scène que je n’aurais jamais pu imaginer. Guillaume a fermé son poing maintenant, il le rentre et le sort sans avec une facilité incroyable, sans forcer et de plus en plus vite.

G : Tu ne me demande plus rien Esther ? Ça te suffit pour aujourd’hui ? Elle se masse les  seins (que je trouve un peu tombants, mais pas trop mal après trois grossesse)s en pinçant les pointes et ne répond rien. Si tu ne me demande rie, tu sais bien que tu n’auras rien de plus !

S : (elle parle très bas)  Non ça ne me suffit pas! Je veux plus !

G : Parle plus fort et dis moi clairement ce que tu veux Sabrina.

S : (dans une sorte de sanglot) Plus vite et plus fort ! Vas-y je t’en prie ! j’en ai envie !

G : Tu es sure ? Tu n’en a jamais assez toi !

S : Oui je sais tu me le dis à chaque fois ! Mais j’ai envie de jouir complètement je t’en supplie, cogne bien au fond et appuie moi fort sur le ventre.

G : Couche-toi sur le côté et serre les cuisses tu jouiras plus vite. Elle enlève les pieds des étriers et se couche sur une hanche en écartant une fesse avec sa main et Guillaume lui réintroduit le poing dans la chatte et recommence à la travailler.

S : Oh oui là je le sens bien ! Oui c’est bon ! Ne t’arrête pas ! Plus fort ! Ça vient ! Je vais jouir ! Je suis une vraie salope ! Une cochonne! Elle se met à genoux et le buste appuyé sur la table. On entend le bruit de ventouse que fait la main de Guillaume qui continue à entrer et sortir de son vagin complètement distendu. Puis, tout à coup elle pousse un grand cri et de grosses giclées de liquide éclaboussent la table pendan,t que la main de Guillaume prend un rythme beaucoup plus lent. Esther s’affale sur la table. Guillaume sort de la pièce et revient avec une serviette qu’il pose sur elle, mais cela ne la fait pas réagir, elle est complètement essoufflée.

G : Je te laisse quelques instants, le temps que tu récupères. Elle dit « oui et merci » dans un souffle.

Guillaume arrive dans le studio et moi qui avais presque joui, je n’ai même pas eu le temps de fermer complètement mon pantalon et je vois bien qu’il s’en aperçoit.

G : Alors Nadia ? Tu as apprécié ? Je comprends très bien sa question à double sens.

Moi : Oui beaucoup ! Mais j’ai l’impression qu'elle aussi ! Et vous ?

G : Oui pour qu'Esther arrive à se lâcher, il faut bien la connaître. Elle a du mal à faire confiance aux hommes. Elle m’a confié un jour avoir subi des attouchements pendant des années par un cousin et personne ne s’en est rendu-compte. Elle n’arrive pas à l’orgasme sans le fist. Elle n’a jamais osée demander ça à son mari, car elle pense qu’il en serait choqué.

Moi : J’ai remarqué qu’elle s’épile d’une façon bizarre !

G : Avec son mari elle ne pratique que la sodomie, d’après ses confidences. Mais avec elle on ne sait jamais vraiment tout. A mon avis, comme elle aime être humiliée, elle doit avoir une sorte de maître sur internet qui lui impose certaines choses à faire devant sa webcam, comme ne se raser que  l’anus ou pratiquer des dilatations etc. Tu comprends ces choses à ton âge ou ça te choque ?

Moi : Je ne dis pas que ça me choque, mais parfois je trouve des trucs bizarres. Justement j’aurais bien aimé pouvoir vous parler de tout cela en détails si vous avez le temps.

G : Bien sur je te comprends. Il n’est pas tard, je te raccompagnerai si tu veux ? A quelle heure tu dois être chez toi ?

M : Normalement je dois rentrer vers 21h le mercredi, car je devait être à la danse.

G : Je vois ! Il n’est que 17h nous avons tout le temps de discuter. Je finis avec Sabrina. Je dois faire quelques photos encore avec elle !

M : Des photos ? Encore ? Avec la séance qui est filmée à chaque fois, vous en avez des centaines déjà non ?

G : Ce n’est pas le même genre de photos ! Elle pose pour moi pour des photos de charme que j’ai le droit de publier. C’est comme ça que la plupart des femmes me rémunèrent en fait. Je ne filme que la première séance en règle générale, (il sourit) sauf si c’est très original !

Moi : Et pour moi alors je serai filmée aussi ? Ou juste les photos de charme ?

G : Si tu souhaites des massages, la première fois tu seras filmée et si c’est très original ce ne seras pas que la première fois ! (il rit) Mais cela peut être excitant tu sais. Pour les photos de charme c’est moi qui choisirai les décors et les pauses. Tu sais avant 15 ans on n’a pas le droit de toucher une fille même si elle est consentante.

Moi : Je vais avoir 15 ans en juin prochain ! J’ai hâte d’y être !

 

G : Quelle coquine tu fais ! Bon je reviens !

 

Par nadiaberg - Publié dans : adolescence
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 30 juillet 3 30 /07 /Juil 13:45

ninamk09
ninamk09
par nadiaberg

Par nadiaberg - Publié dans : adolescence
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 29 juillet 2 29 /07 /Juil 14:10

ninadsc 067nina12nina.mk14C’était bientôt mon anniversaire ! J’allais avoir 13 ans en ce joli mois de juin 2009 ! L’année scolaire était terminée et j’avais un bon bulletin sans avoir spécialement puisé dans mes ressources intellectuelles. 

Mon stage en entreprise s’était très bien passé. Je me suis très bien entendue avec mon responsable de stage Guillaume, l’infirmier (qui avait l’âge d’être mon père... Mais bon !).

D’ailleurs je dois aller lui rendre-visite ! Il parlait de faire des photos… Il m’a contactée par mail et m’a fait un plan pour aller à sa « cabane de pêche » au bord d’un étang. Je pourrai certainement y aller en scooter car ce n’est pas très loin de Bruz… On verra bien !

En attendant, cet après-midi j’avais rendez-vous dans un bar avec Simon, le garçon de 17 ans que j’avais connu dans la également pendant mon stage. J’avais hâte de le revoir ailleurs! Qui sait ce qui allait se passer ! J’ai prévenu maman que nous allions fêter la fin de l’année scolaire et que je dormais chez une amie.

Pour ne pas passer pour la meuf qui a son 1er rendez-vous, j’ai demandé à ma copine Samia de m’accompagner au café. Il y a pas mal de nanas et de mecs, tous jeunes adultes ou ados, mais pas de Simon.

Au bout d’un ¼ d’heure il y a déjà, trois ou quatre mecs qui veulent nous inviter à leur table.

Samia, mon amie  qui a 15 ans est très brune, pas très grande (on fait la paire toutes les deux !), cheveux longs, les yeux foncés, jolie poitrine, bien cambrée, très typée méditerranéen je trouve. Moi qui suis presque blonde, question look on est un peu l’opposée l’une de l’autre, en fait, ce qui attire les regards.

Nous finissons par accepter qu’un garçon de 19-20 ans, qui n’arrête pas de regarder Samia vienne à notre table. Je me rend-compte, que Samia n’est pas indifférente à son charme non plus. Il est sympa et très drôle ce qui ne gâte rien ! Il se prénomme Sébastien. Il nous demande notre âge : Nous mentons : Samia dit qu’elle va avoir 16 ans et que moi, je viens d’en avoir 15 !

En ce qui concerne Simon, tant pis pour lui ! Nous partons retrouver des potes à Sébastien qui fêtent un anniversaire à St Jacques. Il nous emmène avec sa voiture.

La fête se déroule en campagne, chez une jeune femme divorcée.

C’est une ancienne ferme rénovée, à l’écart des lotissements voisins, entourée de haies et d’arbres et il y un petit étang près duquel plusieurs tentes ont été installées dans l’herbe.

Sébastien nous présente vite fait à tout le monde, mais nous devons en oublier car il y a au moins 35 personnes !

Nina, la propriétaire, qui invite pour son anniversaire fête ses 30 ans. C’est une blondinette assez ordinaire, s’il elle n’avait pas une forte poitrine qu’on remarque d’emblée et qu’elle étale dans le décolleté d’une robe de plage quasi transparente. Personne ne peut ignorer que culotte et soutif sont de couleur rose-rouge !

Elle nous souhaite la bienvenue en précisant que ce soir, ici,  tout est permis : On va pouvoir faire la fête, mettre des watts et se lâcher ! Elle précise que deux enfants sont avec leur père pour une semaine! Nous voilà prévenues !

Comme nous n’avons aucun bagage, nous coucherons dans la chambre d’un des gamins. Nous la remercions de son hospitalité.

La sangria et le punch coulent à flot. Il y a même de la bière à la pression. Des toasts et des canapés faits maison sont disposés sur les tables et ont vite faits de disparaître, engloutis en en un rien de temps par des affamés. Heureusement les « réserves liquides » sont plus copieuses et au bout de 2 ou 3 heures tout le monde est bien chaud...

 Samia est trop saoule ! Jamais je ne l’ai vue comme ça ! Elle a ouvert son chemisier jusqu’au 4ème bouton. Assise sur son canapé, elle ne serre même plus les jambes. Je ne suis pas la seule à le remarquer, car les mecs se bousculent en face d’elle, et elle en rajoute encore en laissant sa jupe remonter tout en haut de ses cuisses, genre : «  je ne me suis rendu-compte de rien ! »

Un moment d’inattention de ma part et elle disparaît de ma vue.

Je suis entourée par trois ou quatre mecs qui ne me lâchent plus. Ils veulent me faire boire le plus possible pour arriver à leur fin, moi qui ne bois pratiquement jamais, je commence déjà à avoir les idées pas très nettes et je prétexte un mal de tête pour refuser les verres qu’ils me proposent. Ils se relaient pour me tripoter les seins et les cuisses et je commence à être chaude bouillante à force d’être sollicitée sans arrêt. Je finis par accepter le challenge discret d’un grand black : Aller aux toilettes et revenir sans culotte ni soutif.

J’ai ouvert mon haut ce qui ne laisse aucun doute sur l’absence de soutien gorge et je croise les jambes à plusieurs reprises (genre basic instinct, en beaucoup plus lent) pour qu’ils voient que j’ai tenu parole. C’est tout juste si les mecs ne se masturbent pas sur le champ.

Sébastien reparait tout à coup et vient me tirer des griffes de ces obsédés. Il vient me chercher car Samia me demande. Je laisse là mes admirateurs en rut et je le suis jusqu’à ce qui devait être autrefois le grenier : Une grande pièce mansardée, aménagée en salle de jeu, avec un billard, une télé et un vidéo-home cinéma. Il y a une banquette, un fauteuil et des tapis au sol avec des éclairages indirects.

Samia est allongée sur la banquette. Elle n’a  plus de culotte, et sa jupe est remontée jusqu’au ventre. Elle semble dormir à moitié. Ses cuisses sont ouvertes sur une chatte complètement épilées en dessous du clitoris ce qui et contraste avec un pubis aux longs poils noirs. Je remarque sa breloque de nombril que je ne connaissais pas. Je vais près d’elle. Elle a les yeux dans le vague et me dit :

Samia: « Sébastien semblait être étonné par ma boucle de nombril, tu devrais lui montrer ton plug-bijou Nadia ! »

Ma tête n’est  pas très claire non plus, donc sa proposition ne me choque pas plus que ça. Je lui réponds Moi : « Sébastien ne m’a rien demandé et tu es un peu nulle de parler d’un secret que je t’ai confié ! »

Sébastien : « Allez ! Nadia Montre-moi ce bijou ! C’est quoi exactement ? Je commence à avoir de plus en plus chaud et le fait de savoir que de toute façon je finirai par faire ce qu’il a envie, me fait déjà mouiller.

Samia : « Je lui ai dit que toutes les deux on était des petites salopes Nadia. Fais comme moi et déshabilles toi ! D’habitude tu es toujours la première !

 Elle a raison, je ne vais pas commencer à faire la chochotte alors que je meure d’envie de me faire plaisir. J’ouvre complètement mon chemisier et je soulève ma jupe leur montrant que moi aussi j’ai enlevé le bas ! Claire se tourne vers Sébastien et dit : Tu vois je te l’avais dit ! Elle ne s’est jamais épilée de sa vie ! Tu aimes ? Ça fait cochonne hein ? Puis s’adressant à moi : « Montre-lui ! Sinon il ne me croira jamais ! » Très vite je me tourne et écarte une fesse pour qu’il puisse apercevoir le bijou bleu qui orne mon anus.

Sébastien : « Putain j’en reviens pas ! Je savais que ça existait mais je n’en avais jamais vu ! Je n’aurais jamais imaginé qu’une nana de ton âge puisse passer la journée avec ce truc là ! Ça t’excite en fait ? »  

Samia: « Il parait que quand on fait l’amour et qu’on porte un plug, les sensations sont beaucoup plus fortes ! Je n’ai pas encore essayé».

A ce moment là Nina entre doucement dans la pièce. Elle est juste en culotte brésilienne rose et expose à la vue de tous sa lourde poitrine que je trouve malheureusement très tombante (elle devait être magnifique avant ses grossesses car ses seins ont une forme de grosses poires) sans que cela ait l’air de la gêner le moins du monde. J’aperçois les trois lascars qui la suivent.

Nina : « J’étais sur de vous trouver là ! Petites coquines ! Regardez les filles, qui je vous amène ! Ils te cherchaient partout Nadia ! Je pense que ça va être chaud pour toi !

Moi : « Pas question qu’ils viennent ici tous les trois en même temps! »

Nina : En souriant « Je t’en laisse un et j’en garde deux alors ? »

Samia : « Tu es nulle Nadia ! Arrête de regarder tes films pornos et passe à la réalité des choses ! »

Nina : « Alors Nadia décide-toi je t’en laisse combien ? »

Moi : « Comme tu veux, j’aime pas décider ! »

Nina : « Ok ! Comme tu veux ! Moi, j’aime bien prendre en main les choses ! Tu permets que je décide à ta place ?

Moi : « C'est-à-dire ? »

Nina : « Je dis qui fait quoi… Et comment…Mais après il ne faudra pas faire celle qui ne veut plus ou qui ne savait pas ! On est d’accord ?

Je sens un frisson de plaisir me parcourir le corps entier. Comment a-t-elle deviné ce que j’attendais d’elle ? Surement l’habitude !

Moi : « Tout à fait d’accord »

Nina : « Et toi Samia ? Tu es d’accord pour participer et avec ce que je viens de dire ? »

Samia : « Je suis d’accord aussi . »

Nina : « Vous êtes d’accord pour qu’on fasse des photos et des vidéos ? »

Moi : « Non pas moi je n’ai pas encore 16 ans »

Samia : « Moi non plus je n’ai pas 16 ans et je m’en fou ! » (Elle est complètement saoule)

Nina : « Ok pas de film si vous n’avez pas l’âge ! Je n’ai pas envie de finir chez les flics ! Sinon vous faites tout ? Il n’y a pas de choses qui vous choquent ? Pas de tabou ? Personne ne répond…Moi je me dis que je connais tout par les films mais je n’ai jamais pratiqué ! (sauf en me masturbant avec les godes de ma mère).

Nina : « Je considère donc que c’est un « oui » collectif ! Pour commencer les filles vous vous déshabillez complètement ! » Samia enlève péniblement son t-shirt et moi mon chemisier et ma jupe.  « Nadia tu te mets assise à côté de Samia et vous nous montrez tout ce que ces 4 garçons ont envie de voir »

Samia : La bouche pâteuse « explique mieux s’il te plait !»

Nina : « Comme ça ! » Elle fait glisser sa culotte à ses pieds et s’assoit un moment sur le fauteuil en écartant les jambes et dévoilant son intimité, puis elle se tourne et écarte ses fesses en disant ! « Moi ça ne me dérange absolument pas qu’on prenne des photos de moi !  Je n’ai plus de 16 ans ! Maintenant à vous mesdemoiselles les petites salopes ! »  Samia écarte sa foune à deux mains et moi, accroupie, j’écarte les cuisses le plus possible, les mains derrière la tête.

Les mecs se poussent du coude en souriant et  chuchotent.

Nina : (Entendant ce qu’ils se disent)  « Effectivement ! Je suis d’accord... Samia on aime bien ton style semi-rasé d’adolescente ! Et toi Nadia, tu es plutôt comme moi « naturelle » ! Tu es encore très jeune, mais Il te suffit d’écarter les jambes pour que ça s’ouvre naturellement ! Dis-nous la vérité! Tu te godes régulièrement non ?

Moi : « Oui j‘aime bien »

Nina : « Seulement des vibros ou des godes de taille réalistes aussi ? »

Moi : (un peu agacée de répondre à ces questions) « De tout ! Des petits vibros et des gros godes et même ça !  » (je me tourne pour montrer mon plug anal en « saphir »).

Nina : « Wow ! Quand même ! Je vois que tu es une habituée de la chose ! Très excitant à porter je suppose et très joli à regarder ! N’est-ce pas les garçons ? » (Les 4 mecs acquiescent avec bruit). Samia montre nous aussi tes fesses. (Samia se tourne à genoux sur le canapé et les écarte) Très joli cul et belles fesses ! Par contre, dis-moi si je me trompe, mais la sodo ça ne doit pas être ta tasse de thé n’est-ce pas ?

Samia : « Non pas vraiment ! Il faut vraiment que je sois très excitée pour le faire »

Nina : « Et toi Nadia ? Je pense qu’au contraire de ta copine, toi, tu te faire mettre par derrière ? Je dis oui en hochant la tête. C’est ta manière préférée ? »

Moi : « J’aime les deux »

Nina : « Même si tu ne l’avais pas dit je l’aurai deviné tu vois ! Dit-elle méchamment Et sucer tu aimes ? » Je dis encore oui de la tête en frissonnant (alors que je ne l’ai jamais fait).

 Les garçons je vous propose de vous faire sucer chacun votre tour par ces jolies demoiselles ! Deux pour Samia qui malgré son visage d’ange est une experte, j’en suis certaine, vu sa bouche et deux pour notre petite blondinette Nadia, qui aime ça ! C’est elle qui l’a dit ! Moi j’irai d’un trio à l’autre car je n’arrive pas à me décider … Je gouterai donc à tout ! Allez ! Enlevez vos slips qu’on voit vos jolies queues ! Les 4 garçons ne se font pas prier, mais je remarque qu’il y en a qu’un seul qui est vraiment en érection, c’est celui qui parait le plus jeune, blond aux yeux bleus magnifiques. Il a un sexe disproportionné par rapport à son âge, je trouve. Assez long mais surtout très épais, avec des testicules qui paraissent ridiculement petites en proportion. Je remarque aussi que le Black qui m’avait proposé d’enlever mes sous vêtement tout à l’heure a un sexe de taille très ordinaire, sans plus et je l’aperçois se masturber tout en nous regardant.

Nina : « Ce qui serait pas mal les mecs, c’est que pendant qu’il y en a un qui se fait sucer, le deuxième passe aux choses sérieuses ! Les filles ce n’est pas comme les garçons ! Nous pouvons très bien faire plusieurs choses à la fois ! Et en plus, nous adorons ça ! Dit-elle en riant »

Discrètement je m’éclipse pour aller aux toilettes et du coin de l’œil je vois que Samia s’approche déjà du garçon blond. Je me dis que je ne suis pas la seule à avoir le sens de l’observation ! Je passe un bon moment dans la salle de bain où j’essaie de reprendre un peu de couleurs et de me réveiller en m’aspergeant le visage d’eau froide, je retire mon plug anal et le cache dans une poubelle entouré de papier et je retourne ensuite dans la pièce. Mon absence n’a pas eu l’air de les perturber beaucoup. Samia s’est accaparé le blondinet comme je m’en doutais et le suce à genoux tout en se faisant masturber.

Nina suce également un garçon pendant que le garçon Black la prend par derrière et ses gros seins ballottent sous ses coups de reins. De temps en temps elle retire le sexe de sa bouche pour le supplier de faire plus fort en prononçant  des paroles grossières et en gémissant très fort.

Environ dix ou douze autres personnes sont arrivées dans la pièce et suivent les ébats avec curiosité et grand intérêt mais sans participer. Ils sont tous en sous vêtements, demi-nus ou même nus pour certains. 

Sébastien semble attendre son tour en regardant les deux groupes sans arriver à se décider semble-t-il. Je pense qu’il a déjà eue sa part tout à l’heure avec Samia. Moi, je suis debout, nue dans un coin. J’espère malgré tout qu’on finira par me remarquer et me solliciter .... Mais non ! Tout le monde est trop occupé. Tout à coup surprise ! Sébastien s’aperçoit que je suis là. Je luis souris en ouvrant légèrement les jambes Il s’approche de moi et je remarque que son sexe, sans atteindre les proportions du blondinet aux yeux bleus, est de bonne taille.  Il me demande de prendre son sexe dans ma bouche, il ne se doute surement  pas que je le fais pour la première fois. J’essaie de sucer comme je l’ai vu faire dans les films pornos. C’est à la fois dur et doux et je m’applique le plus possible, morte de peur que Sébastien me dise que je suis nulle. Mais en même temps je n’ai pas envie que son sperme coule dans ma bouche, du coup, sentant qu’il commence à se crisper je le retire de ma bouche et commence à le branler. Effectivement quelques instants après il gicle en grosses saccades sur le tapis. Je suis un peu frustrée de voir que mon partenaire m’abandonne, mais je profite du spectacle, comme tous les autres, malgré tout…Et je photographie discrètement avec mon portable les différents acteurs de cette scène.

Samia est assise sur son blondinet de partenaire et elle est en train de s’empaler et de jouir en faisant profiter tout le monde de son bonheur par ses cris! Nina, maintenant, suce son partenaire Black tout en se faisant sodomiser, accroupie sur l’autre gars, face à nous, en écartant sa chatte au maximum, pour qu’il n’y ait aucun doute sur de ce qu’elle est en train de subir...

Et puis mon regard est attiré par une jeune femme, nue, très brune, de 32 – 33 ans environ, avec de tout petits seins, une toison particulièrement fournie, noire aile de corbeau. Je la regarde en me disant que je l’ai déjà vue. Puis cela me revient d’un seul coup ! Evidemment ! C’est l’infirmière, son nom est Mélissa, c’est elle qui venait faire les soins à domicile l’hiver dernier, quand ma grand-mère était chez nous ! Incroyable ! Elle paraissait si douce et si sérieuse ! Elle parlait même de ses enfants et de son mari presque à chaque fois à mamy, qui avait fini par trouver qu’elle était un peu casse-pieds pour finir ! En ce moment la jolie et sage Melissa est en train de mater de près Nina qui maintenant se fait prendre en même temps par les deux garçons, toujours assise sur l’un pendant que l’autre la baise par la chatte. Ça à l’air d’exciter beaucoup la petite infirmière qui se masturbe accroupie de façon frénétique sans perdre une seule miette de la scène.

Samia a fini de jouir et semble somnoler dans un coin de canapé. Je vais la rejoindre. J’ai du mal à la trainer jusqu’à la douche, mais celle-ci lui fait du bien et elle émerge quand même sous l’action de l’eau fraiche. Elle se rhabille et moi aussi, après avoir récupéré mon bijou où je l’avais caché.

Samia : « Dis ! On ne reste pas ! Je n’ai pas envie d’être le paillasson de tous ces mecs ! »

Moi : « Tu dis ça parce que tu t’es bien éclatée et que tu as joui comme il faut ! Espèce de salope ! »

Samira : « Putain ! Il en avait une super grosse ! Trop bien ! Et toi tu l’as fait ? »

Moi : « Tu parles ! Cette chienne de Nina ! Elle a tout pris pour elle ! Et moi, juste une petite suce ! Au fait tu as remarqué une nana brune qui matait ? C’est une infirmière genre bobo qui fait du domicile, elle habite tout près de chez moi ! »

Samia : « Ah bon ? Montre la moi s’il te plait ! » Nous retournons discrètement dans la salle et je cherche Melissa du regard. Je finis par l’apercevoir à genoux sur le tapis, cuisses écartées. Elle suce un mec pendant qu’un autre la masturbe et lui enfile les doigts dans la vulve. Elle a l’air complètement absente, les yeux révulsés, de la salive coule de sa bouche.

Moi : « Tu la vois ? Celle avec les deux mecs, avec la super chatte noire ! Elle se fait fister maintenant regarde ! »

Samira : « Oui je la connais aussi ! Elle est allée à l’école avec ma cousine ! Je suis même allée plusieurs fois avec elle chez ses parents, il y a quelques années ! J’imagine leur tête s’ils voyaient leur fille unique en train de se faire mettre le poing dans la chatte ! Vite ! Je ne tiens pas à ce qu’elle me voit ! On se tire.

Moi : « On se tire comment ? On est loin de tout ici ! »

Samira : « J’appelle mon oncle. Il va venir avec sa voiture t’inquiète ! »

Une heure plus tard effectivement, j’étais dans ma chambre, allongée dans mon lit. J’avais encore ma « virginité ». Mais en fin de compte je n’étais pas trop déçue. Je me suis dit qu’il était écrit que ce ne serait pas ce soir !

Je suis restée sur ma faim, malgré tout et pour me calmer j’emprunte une fois de plus les toys de maman. Mon choix se porte sur un gros gode à ventouse et dans la salle de bain (j’aime bien le faire dans cette pièce car je peux me voir dans un miroir) en me pénétrant par devant et ensuite par derrière en me masturbant, j’arrive à me faire jouir assez vite et cela me permet d’être calme ensuite.

Je réfléchis et décidais de regarder l’avenir qui allait, j’en étais certaine, me réserver plein d’autres bonnes choses. Des plaisirs sexuels que j’espérais très vivement, mais je me disais que j’étais plus tentée par le « plaisir cérébral » que par des « plaisirs uniquement physiques ». Il fallait absolument que je me trouve un homme, un initiateur à la hauteur de la tache et de la barre que j’avais décidé de placer très très haut !

 

Par nadiaberg - Publié dans : adolescence
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 18:20

J’étais en 4ème au collège et nous étions en juin 2009, j’allais avoir 13 ans dans quelques jours et comme tous les élèves de ma classe je participais à un stage de découverte en entreprise de 2 semaines.

Je dois encore expliquer que depuis ma découverte des films X presque deux ans auparavant, je me masturbais très souvent, parfois plusieurs fois par jour. Soit directement en visionnant les films, soit le soir dans ma chambre en me les repassant dans ma tête. Mais depuis un peu plus d’un an maintenant  j’utilisais aussi des toys.

Ma mère m’avait dit où elle mettait la clé de son placard secret qui se trouvait sur un palier et je pouvais choisir les films quand j’en avais envie. Il arrivait que maman me voit aller au placard. Au début cela me gênait et je ne le faisais pas devant elle, mais par la suite, voyant qu’elle ne faisait aucun commentaire, sa présence m’était indifférente.

Un après midi, en mai 2008, alors qu’elle était absente j’allais au placard une fois de plus et je m’aperçu qu’une malle qui se trouvait là, parmi des quantités d’objets divers (machine à coudre, chaussures, lingerie, vêtements d’hiver etc.)  était restée entrouverte. Elle fermait avec un code à 4 chiffres que je mémorisais immédiatement : 9669.

J’ouvris cette valise métallique qui contenait plusieurs cartons à chaussures remplis de photos dans des enveloppes marquées de dates, parfois très anciennes : Années 1970, 80 et 90.

Elle contenait aussi  un vieux vanity avec une collection complète de sex-toys. J’en avais vu dans les films pornos, mais jamais en vrai ! Il y en avait de toutes les formes et de toutes les tailles. Pour certains objets, je ne savais même pas à quoi ils pouvaient bien servir. Je me dis que j’allais regarder sur internet pour me renseigner.

Je trouvais également des gels intimes, des préservatifs de toutes sortes et de nombreux sous vêtements très sexy et osés (slips fendus, strings, guêpières, porte-jarretelles, soutiens gorges sans bonnets, bas à résilles etc.). Des objets tels que des menottes, des cravaches, des pinces à seins de toutes tailles. Et puis une clé USB dans un étui de cuir.

Pour moi c’est comme si j’avais trouvé le trésor d’Ali Baba ! Et puis, je me rendais enfin compte que ma mère était une salope et peut être même une prostituée !

La clé USB que j’avais immédiatement mise sur mon pc contenait des centaines de photos et des dizaines de vidéo que je téléchargeais dans un dossier caché en remettant à plus tard l’exploration complète de tous ces documents.

Depuis un an maintenant je me servais des toys de ma mère à chaque fois que je me masturbais, quand elle n’était pas là. Après avoir regardé les sex shop sur internet, j’étais devenue une spécialiste des divers objets et de la manière de m’en servir...

Progressivement entre 12ans et 13 ans j’arrivais presque tous à les utiliser. J’avais commencé par les plus fins comme les vibros et de minuscules anus picket. Semaine après semaine, mois après mois je passais aux tailles au dessus. 

Depuis quelques jours je me rendais à un stage avec un kinésithérapeute. J’avais réussi par relation, un médecin qui connaissait maman, à obtenir un stage dans une maison médicale. J’avais l’intention à cette époque de devenir infirmière, kiné ou sage-femme

C’était un monde très nouveau pour moi que celui de l’entreprise médicale et je n’arrivais pas trop à me situer pendant  la première semaine. Mais le kiné qui était mon maître de stage, qui avait environ 45 ans était assez cool. Il avait une collègue  mais qui était en congés. Il travaillait avec les médecins du groupement médical, ainsi qu'avec les autres personnels paramédicaux. Moi, je tachais de l’aider au mieux dans les tâches administratives et informatiiques du poste.

De cette façon je fis la connaissance d’un garçon de 17 ans, Simon qui faisait également un stage (mais lui de plusieurs mois avec lesinfirmières) que je trouvais immédiatement super mignon, grand brun et très à l’aise avec les filles. Je pense qu’il avait flashé sur moi aussi et très vite il me proposa d’aller boire un pot un soir après le travail, ce que j’acceptais sans aucune résistance.

Guillaume, "mon" kiné me plaisait bien aussi, il était très sportif, mince et bien foutu. Vu la différence d’âge, je pense qu’il n’imaginait même pas une seconde que je l’envisageais.

A cette époque, en y repensant aujourd’hui que j’ai 18 ans, je me dis que n’importe quel mec pas trop mal, avec un peu de tchatche aurait pu m’avoir et faire ce qu’il aurait voulu de moi...

Un après-midi, dans les derniers jours, je fis tout mon possible pour qu’il comprenne ce que je voulais.

 (Je portais un plug (une sorte de cône métallique avec un bijou en forme de fleur  sur la partie extérieure qu’on se place dans l’anus et qui donne des sensations quand on marche), c’était assez habituel pour moi car je le mettais aussi très souvent pour aller en cours. Le seul problème avec c’est que ça me fait énormément mouiller.)

Profitant de la pause du déjeuner, au cours de la conversation, je dis à Guillaume que j’avais mal au dos depuis quelques jours. (à 13 ans j’étais presque aussi grande (en fait pas très grande….) et formée qu’aujourd’hui. J’étais peut être un peu plus ronde, mais sinon je ne me sentais plus du tout une petite fille).

Il me questionne quelques instants en me demandant des explications sur ces dorsalgies, si c’était survenu progressivement ou soudainement, si c’était la 1ère fois etc. Puis, de retour au cabinet, il me demande de me mettre debout et de me pencher en avant lentement et de lui indiquer à quel moment je commence à avoir mal et à quel endroit exact. Je luis dit que la douleur la plus vive est au niveau des reins, mais qu’elle se propage également dans la fesse et sur le devant  de la cuisse droite et que j’ai mal dès l’instant ou je commence à me pencher.

Cette douleur est survenue le w. end précédant alors que je chahutais avec des cousins.

Il me fait entrer dans le cabinet de massage et me dit d’enlever ma blouse et mon pantalon et de m’installer sur la table de massage pendant qu’il va chercher la lampe infrarouge.

Je me déshabille. En culotte et soutien gorge je m'allonge à plat-ventre sur la table.

Guillaume  revient et dirige la lampe au niveau de mes reins en me demandant d’essayer de me décontracter le plus possible. Il précise qu’ensuite, après un ¼ d’heure de lampe, il me massera.

Le temps écoulé il revient, me demande de me remettre debout et d'enlever mon slip et de m' allonger à nouveau sur le ventre.Je m’aperçois qu’il ne quitte pas mon pubis des yeux, laissé naturel et qui dépasse des élastiques de ma culotte.

Je fais glisser ma culotte. Je reste debout devant lui quelques instants et demande si je dois enlever également mon soutien gorge.

G : « Oui autant l’enlever dès maintenant , je vais te faire un massage complet ». Il rajoute une fois que j’ai enlevé le haut : « Dis moi, tu as quel âge exactement ? » Je réponds que je vais avoir 13 ans la semaine suivante. Il répond : « 13 ans ? Je n’en reviens pas ! Franchement je t’aurais donné 15 ou 16 ans sans problème ! Il ya des femmes de 25 ans qui aimeraient bien avoir la poitrine que tu as et le reste aussi ! ».

Je ne réponds rien et je m’installe allongée sur lat able. Guillaume me place un coussin sous le ventre car comme je suis cambrée il dit que c'est nécessaire, pour soulager le bas de mon dos.

Mon anus picket doit se voir dans cette position, mais je m’en fiche, au contraire. Je veux juste  connaître sa réaction.

Guillaume ne réagit pas à la vue de mon bijou anal.

Il me masse le dos des épaules aux reins d’une façon très agréable et très professionnelle. C’est vraiment très agréable et je commence à me relaxer totalement en arrivant à faire le vide dans ma tête, ce qui m’arrive très rarement.

Au bout d’un moment il me demande de soulever un peu le bassin et il passe sa main gauche sous mon ventre, au niveau de mon pubis et me masse les reins de l’autre main en appuyant très fortement.

Sa main englobe totalement ma chatte maintenant et lorsqu’il passe l’autre main dans le bas de mon dos, ses doigts appuient sur mon clitoris. Je ne peux pas m’empêcher de gémir légèrement. Je sens que je commence à mouiller.

G : « Je te fais mal Nadia ? »

Moi : « Un peu, oui mais c’est supportable »

G : « Ma main sous ton ventre, c’est cela qui est douloureux ? »

Moi : « Non, c’est plus quand vous appuyez très fort sans le creux de mes reins avec l’autre main »

G : « Très bien. Mets-toi à genoux sur la table, je vais t’apprendre un exercice que tu devras faire chaque jour pour ton dos.

Je m’agenouille sur la table de massage et il se place debout à côté de moi, il me met une main sur les reins et l’autre sous le ventre et explique.

G : « Tu dois faire le dos rond depuis la nuque jusqu’aux fesses et tu comptes jusqu’à 10. Ensuite tu te cambres au maximum en redressant la tête et en pointant le menton vers le plafond, tu sors les fesses le plus possible et tu comptes encore jusqu’à 10. Essaye ! »

J’essaie de faire du mieux possible, comme il m’a expliqué, mais quand je fais le dos rond, en regardant entre mes jambes je m’aperçois que j’ai laissé une grosse tâche sur le drap en papier…

G : « Ne garde pas les genoux aussi serrés, écartes-les jusqu’aux bords de la table Nadia, tu verras c’est beaucoup mieux et cambres au maximum, fais ressortir tes fesses! Regarde le plafond !»

Il tourne doucement autour de la table pendant que j’alterne les positions dos rond et extensions. Puis il s’arrête derrière moi, me donne une petite claque sur les fesses en disant :

G : « Joli bijou ! C’est pour faire plaisir à ton copain ? »

Moi : (en me rallongeant sur la table) « Merci pour le compliment, mais je n’ai pas de copain.»

G : « Ah ! C’est juste un plaisir personnel alors ? »

Moi : « Oui si on veut ! J’aime bien le mettre c’est tout ! »

G : « Ok ! Ok ! Rien ne me choque et je trouve cela original, mais avoue que je peux être étonné quand même ? Tu savais bien que j’allais le voir pendant le massage. D’habitude ces genres de toys sont utilisés par les femmes mures !

 Moi : « Oui mais ce n’est pas interdit je pense ? »

G : « Non ce n’est pas interdit. Ce qui est interdit ce sont les relations sexuelles avec les moins de 15 ans Dit-il en riant Bon ! Le massage est fini ! Tu te sens mieux ? » 

Moi : « Oui ça m’a beaucoup décontractée et j’ai moins mal !

G : «en clignant de l’œil  Je suis content de t’avoir fait plaisir »

Moi : « en souriant Oui j’ai bien aimé certaines techniques de votre massage et j’espère pouvoir en bénéficier encore une autre fois ! »

G : « Tu es vraiment une petite coquine toi ! Tu sais en attendant tes 15 ou 16 ans, je suis photographe amateur et peut-être que tu serais d’accord pour poser pour moi ? En échange de massages ?

Moi : « Pourquoi pas ? Quel genre de photos ? « 

G : « ça reste à définir ensemble…Les vacances arrivent et tu peux venir en discuter un de ces jours si tu veux ?

Moi : « Je peux venir vous voir où ? (En souriant d’un air coquin) Chez vous ?

G : « J’ai un endroit plus tranquille (il sourit aussi) ma cabane de pêche, pas très loin de Rennes.

Moi : « Je suis d’accord. Je vais vous laisser mon adresse mail et vous pourrez me contacter si vous ne changez pas d’avis ! En riant C’est bien payé ?

G : « Effectivement ça peut ! En fonction des photos ! Plus c’est coquin et mieux c’est payé ! On en discutera si on se revoit alors ? Promis ?

Moi : « Promis ! »

Aujourd’hui c’est mon dernier jour de stage et j’ai rendez-vous avec le beau Simon.

Lundi l’école reprend pour encore 15 jours !

 

Par nadiaberg - Publié dans : adolescence
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Juillet 2025
L M M J V S D
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30 31      
<< < > >>

Derniers Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus