Mardi 29 juillet 2 29 /07 /Juil 14:10

ninadsc 067nina12nina.mk14C’était bientôt mon anniversaire ! J’allais avoir 13 ans en ce joli mois de juin 2009 ! L’année scolaire était terminée et j’avais un bon bulletin sans avoir spécialement puisé dans mes ressources intellectuelles. 

Mon stage en entreprise s’était très bien passé. Je me suis très bien entendue avec mon responsable de stage Guillaume, l’infirmier (qui avait l’âge d’être mon père... Mais bon !).

D’ailleurs je dois aller lui rendre-visite ! Il parlait de faire des photos… Il m’a contactée par mail et m’a fait un plan pour aller à sa « cabane de pêche » au bord d’un étang. Je pourrai certainement y aller en scooter car ce n’est pas très loin de Bruz… On verra bien !

En attendant, cet après-midi j’avais rendez-vous dans un bar avec Simon, le garçon de 17 ans que j’avais connu dans la également pendant mon stage. J’avais hâte de le revoir ailleurs! Qui sait ce qui allait se passer ! J’ai prévenu maman que nous allions fêter la fin de l’année scolaire et que je dormais chez une amie.

Pour ne pas passer pour la meuf qui a son 1er rendez-vous, j’ai demandé à ma copine Samia de m’accompagner au café. Il y a pas mal de nanas et de mecs, tous jeunes adultes ou ados, mais pas de Simon.

Au bout d’un ¼ d’heure il y a déjà, trois ou quatre mecs qui veulent nous inviter à leur table.

Samia, mon amie  qui a 15 ans est très brune, pas très grande (on fait la paire toutes les deux !), cheveux longs, les yeux foncés, jolie poitrine, bien cambrée, très typée méditerranéen je trouve. Moi qui suis presque blonde, question look on est un peu l’opposée l’une de l’autre, en fait, ce qui attire les regards.

Nous finissons par accepter qu’un garçon de 19-20 ans, qui n’arrête pas de regarder Samia vienne à notre table. Je me rend-compte, que Samia n’est pas indifférente à son charme non plus. Il est sympa et très drôle ce qui ne gâte rien ! Il se prénomme Sébastien. Il nous demande notre âge : Nous mentons : Samia dit qu’elle va avoir 16 ans et que moi, je viens d’en avoir 15 !

En ce qui concerne Simon, tant pis pour lui ! Nous partons retrouver des potes à Sébastien qui fêtent un anniversaire à St Jacques. Il nous emmène avec sa voiture.

La fête se déroule en campagne, chez une jeune femme divorcée.

C’est une ancienne ferme rénovée, à l’écart des lotissements voisins, entourée de haies et d’arbres et il y un petit étang près duquel plusieurs tentes ont été installées dans l’herbe.

Sébastien nous présente vite fait à tout le monde, mais nous devons en oublier car il y a au moins 35 personnes !

Nina, la propriétaire, qui invite pour son anniversaire fête ses 30 ans. C’est une blondinette assez ordinaire, s’il elle n’avait pas une forte poitrine qu’on remarque d’emblée et qu’elle étale dans le décolleté d’une robe de plage quasi transparente. Personne ne peut ignorer que culotte et soutif sont de couleur rose-rouge !

Elle nous souhaite la bienvenue en précisant que ce soir, ici,  tout est permis : On va pouvoir faire la fête, mettre des watts et se lâcher ! Elle précise que deux enfants sont avec leur père pour une semaine! Nous voilà prévenues !

Comme nous n’avons aucun bagage, nous coucherons dans la chambre d’un des gamins. Nous la remercions de son hospitalité.

La sangria et le punch coulent à flot. Il y a même de la bière à la pression. Des toasts et des canapés faits maison sont disposés sur les tables et ont vite faits de disparaître, engloutis en en un rien de temps par des affamés. Heureusement les « réserves liquides » sont plus copieuses et au bout de 2 ou 3 heures tout le monde est bien chaud...

 Samia est trop saoule ! Jamais je ne l’ai vue comme ça ! Elle a ouvert son chemisier jusqu’au 4ème bouton. Assise sur son canapé, elle ne serre même plus les jambes. Je ne suis pas la seule à le remarquer, car les mecs se bousculent en face d’elle, et elle en rajoute encore en laissant sa jupe remonter tout en haut de ses cuisses, genre : «  je ne me suis rendu-compte de rien ! »

Un moment d’inattention de ma part et elle disparaît de ma vue.

Je suis entourée par trois ou quatre mecs qui ne me lâchent plus. Ils veulent me faire boire le plus possible pour arriver à leur fin, moi qui ne bois pratiquement jamais, je commence déjà à avoir les idées pas très nettes et je prétexte un mal de tête pour refuser les verres qu’ils me proposent. Ils se relaient pour me tripoter les seins et les cuisses et je commence à être chaude bouillante à force d’être sollicitée sans arrêt. Je finis par accepter le challenge discret d’un grand black : Aller aux toilettes et revenir sans culotte ni soutif.

J’ai ouvert mon haut ce qui ne laisse aucun doute sur l’absence de soutien gorge et je croise les jambes à plusieurs reprises (genre basic instinct, en beaucoup plus lent) pour qu’ils voient que j’ai tenu parole. C’est tout juste si les mecs ne se masturbent pas sur le champ.

Sébastien reparait tout à coup et vient me tirer des griffes de ces obsédés. Il vient me chercher car Samia me demande. Je laisse là mes admirateurs en rut et je le suis jusqu’à ce qui devait être autrefois le grenier : Une grande pièce mansardée, aménagée en salle de jeu, avec un billard, une télé et un vidéo-home cinéma. Il y a une banquette, un fauteuil et des tapis au sol avec des éclairages indirects.

Samia est allongée sur la banquette. Elle n’a  plus de culotte, et sa jupe est remontée jusqu’au ventre. Elle semble dormir à moitié. Ses cuisses sont ouvertes sur une chatte complètement épilées en dessous du clitoris ce qui et contraste avec un pubis aux longs poils noirs. Je remarque sa breloque de nombril que je ne connaissais pas. Je vais près d’elle. Elle a les yeux dans le vague et me dit :

Samia: « Sébastien semblait être étonné par ma boucle de nombril, tu devrais lui montrer ton plug-bijou Nadia ! »

Ma tête n’est  pas très claire non plus, donc sa proposition ne me choque pas plus que ça. Je lui réponds Moi : « Sébastien ne m’a rien demandé et tu es un peu nulle de parler d’un secret que je t’ai confié ! »

Sébastien : « Allez ! Nadia Montre-moi ce bijou ! C’est quoi exactement ? Je commence à avoir de plus en plus chaud et le fait de savoir que de toute façon je finirai par faire ce qu’il a envie, me fait déjà mouiller.

Samia : « Je lui ai dit que toutes les deux on était des petites salopes Nadia. Fais comme moi et déshabilles toi ! D’habitude tu es toujours la première !

 Elle a raison, je ne vais pas commencer à faire la chochotte alors que je meure d’envie de me faire plaisir. J’ouvre complètement mon chemisier et je soulève ma jupe leur montrant que moi aussi j’ai enlevé le bas ! Claire se tourne vers Sébastien et dit : Tu vois je te l’avais dit ! Elle ne s’est jamais épilée de sa vie ! Tu aimes ? Ça fait cochonne hein ? Puis s’adressant à moi : « Montre-lui ! Sinon il ne me croira jamais ! » Très vite je me tourne et écarte une fesse pour qu’il puisse apercevoir le bijou bleu qui orne mon anus.

Sébastien : « Putain j’en reviens pas ! Je savais que ça existait mais je n’en avais jamais vu ! Je n’aurais jamais imaginé qu’une nana de ton âge puisse passer la journée avec ce truc là ! Ça t’excite en fait ? »  

Samia: « Il parait que quand on fait l’amour et qu’on porte un plug, les sensations sont beaucoup plus fortes ! Je n’ai pas encore essayé».

A ce moment là Nina entre doucement dans la pièce. Elle est juste en culotte brésilienne rose et expose à la vue de tous sa lourde poitrine que je trouve malheureusement très tombante (elle devait être magnifique avant ses grossesses car ses seins ont une forme de grosses poires) sans que cela ait l’air de la gêner le moins du monde. J’aperçois les trois lascars qui la suivent.

Nina : « J’étais sur de vous trouver là ! Petites coquines ! Regardez les filles, qui je vous amène ! Ils te cherchaient partout Nadia ! Je pense que ça va être chaud pour toi !

Moi : « Pas question qu’ils viennent ici tous les trois en même temps! »

Nina : En souriant « Je t’en laisse un et j’en garde deux alors ? »

Samia : « Tu es nulle Nadia ! Arrête de regarder tes films pornos et passe à la réalité des choses ! »

Nina : « Alors Nadia décide-toi je t’en laisse combien ? »

Moi : « Comme tu veux, j’aime pas décider ! »

Nina : « Ok ! Comme tu veux ! Moi, j’aime bien prendre en main les choses ! Tu permets que je décide à ta place ?

Moi : « C'est-à-dire ? »

Nina : « Je dis qui fait quoi… Et comment…Mais après il ne faudra pas faire celle qui ne veut plus ou qui ne savait pas ! On est d’accord ?

Je sens un frisson de plaisir me parcourir le corps entier. Comment a-t-elle deviné ce que j’attendais d’elle ? Surement l’habitude !

Moi : « Tout à fait d’accord »

Nina : « Et toi Samia ? Tu es d’accord pour participer et avec ce que je viens de dire ? »

Samia : « Je suis d’accord aussi . »

Nina : « Vous êtes d’accord pour qu’on fasse des photos et des vidéos ? »

Moi : « Non pas moi je n’ai pas encore 16 ans »

Samia : « Moi non plus je n’ai pas 16 ans et je m’en fou ! » (Elle est complètement saoule)

Nina : « Ok pas de film si vous n’avez pas l’âge ! Je n’ai pas envie de finir chez les flics ! Sinon vous faites tout ? Il n’y a pas de choses qui vous choquent ? Pas de tabou ? Personne ne répond…Moi je me dis que je connais tout par les films mais je n’ai jamais pratiqué ! (sauf en me masturbant avec les godes de ma mère).

Nina : « Je considère donc que c’est un « oui » collectif ! Pour commencer les filles vous vous déshabillez complètement ! » Samia enlève péniblement son t-shirt et moi mon chemisier et ma jupe.  « Nadia tu te mets assise à côté de Samia et vous nous montrez tout ce que ces 4 garçons ont envie de voir »

Samia : La bouche pâteuse « explique mieux s’il te plait !»

Nina : « Comme ça ! » Elle fait glisser sa culotte à ses pieds et s’assoit un moment sur le fauteuil en écartant les jambes et dévoilant son intimité, puis elle se tourne et écarte ses fesses en disant ! « Moi ça ne me dérange absolument pas qu’on prenne des photos de moi !  Je n’ai plus de 16 ans ! Maintenant à vous mesdemoiselles les petites salopes ! »  Samia écarte sa foune à deux mains et moi, accroupie, j’écarte les cuisses le plus possible, les mains derrière la tête.

Les mecs se poussent du coude en souriant et  chuchotent.

Nina : (Entendant ce qu’ils se disent)  « Effectivement ! Je suis d’accord... Samia on aime bien ton style semi-rasé d’adolescente ! Et toi Nadia, tu es plutôt comme moi « naturelle » ! Tu es encore très jeune, mais Il te suffit d’écarter les jambes pour que ça s’ouvre naturellement ! Dis-nous la vérité! Tu te godes régulièrement non ?

Moi : « Oui j‘aime bien »

Nina : « Seulement des vibros ou des godes de taille réalistes aussi ? »

Moi : (un peu agacée de répondre à ces questions) « De tout ! Des petits vibros et des gros godes et même ça !  » (je me tourne pour montrer mon plug anal en « saphir »).

Nina : « Wow ! Quand même ! Je vois que tu es une habituée de la chose ! Très excitant à porter je suppose et très joli à regarder ! N’est-ce pas les garçons ? » (Les 4 mecs acquiescent avec bruit). Samia montre nous aussi tes fesses. (Samia se tourne à genoux sur le canapé et les écarte) Très joli cul et belles fesses ! Par contre, dis-moi si je me trompe, mais la sodo ça ne doit pas être ta tasse de thé n’est-ce pas ?

Samia : « Non pas vraiment ! Il faut vraiment que je sois très excitée pour le faire »

Nina : « Et toi Nadia ? Je pense qu’au contraire de ta copine, toi, tu te faire mettre par derrière ? Je dis oui en hochant la tête. C’est ta manière préférée ? »

Moi : « J’aime les deux »

Nina : « Même si tu ne l’avais pas dit je l’aurai deviné tu vois ! Dit-elle méchamment Et sucer tu aimes ? » Je dis encore oui de la tête en frissonnant (alors que je ne l’ai jamais fait).

 Les garçons je vous propose de vous faire sucer chacun votre tour par ces jolies demoiselles ! Deux pour Samia qui malgré son visage d’ange est une experte, j’en suis certaine, vu sa bouche et deux pour notre petite blondinette Nadia, qui aime ça ! C’est elle qui l’a dit ! Moi j’irai d’un trio à l’autre car je n’arrive pas à me décider … Je gouterai donc à tout ! Allez ! Enlevez vos slips qu’on voit vos jolies queues ! Les 4 garçons ne se font pas prier, mais je remarque qu’il y en a qu’un seul qui est vraiment en érection, c’est celui qui parait le plus jeune, blond aux yeux bleus magnifiques. Il a un sexe disproportionné par rapport à son âge, je trouve. Assez long mais surtout très épais, avec des testicules qui paraissent ridiculement petites en proportion. Je remarque aussi que le Black qui m’avait proposé d’enlever mes sous vêtement tout à l’heure a un sexe de taille très ordinaire, sans plus et je l’aperçois se masturber tout en nous regardant.

Nina : « Ce qui serait pas mal les mecs, c’est que pendant qu’il y en a un qui se fait sucer, le deuxième passe aux choses sérieuses ! Les filles ce n’est pas comme les garçons ! Nous pouvons très bien faire plusieurs choses à la fois ! Et en plus, nous adorons ça ! Dit-elle en riant »

Discrètement je m’éclipse pour aller aux toilettes et du coin de l’œil je vois que Samia s’approche déjà du garçon blond. Je me dis que je ne suis pas la seule à avoir le sens de l’observation ! Je passe un bon moment dans la salle de bain où j’essaie de reprendre un peu de couleurs et de me réveiller en m’aspergeant le visage d’eau froide, je retire mon plug anal et le cache dans une poubelle entouré de papier et je retourne ensuite dans la pièce. Mon absence n’a pas eu l’air de les perturber beaucoup. Samia s’est accaparé le blondinet comme je m’en doutais et le suce à genoux tout en se faisant masturber.

Nina suce également un garçon pendant que le garçon Black la prend par derrière et ses gros seins ballottent sous ses coups de reins. De temps en temps elle retire le sexe de sa bouche pour le supplier de faire plus fort en prononçant  des paroles grossières et en gémissant très fort.

Environ dix ou douze autres personnes sont arrivées dans la pièce et suivent les ébats avec curiosité et grand intérêt mais sans participer. Ils sont tous en sous vêtements, demi-nus ou même nus pour certains. 

Sébastien semble attendre son tour en regardant les deux groupes sans arriver à se décider semble-t-il. Je pense qu’il a déjà eue sa part tout à l’heure avec Samia. Moi, je suis debout, nue dans un coin. J’espère malgré tout qu’on finira par me remarquer et me solliciter .... Mais non ! Tout le monde est trop occupé. Tout à coup surprise ! Sébastien s’aperçoit que je suis là. Je luis souris en ouvrant légèrement les jambes Il s’approche de moi et je remarque que son sexe, sans atteindre les proportions du blondinet aux yeux bleus, est de bonne taille.  Il me demande de prendre son sexe dans ma bouche, il ne se doute surement  pas que je le fais pour la première fois. J’essaie de sucer comme je l’ai vu faire dans les films pornos. C’est à la fois dur et doux et je m’applique le plus possible, morte de peur que Sébastien me dise que je suis nulle. Mais en même temps je n’ai pas envie que son sperme coule dans ma bouche, du coup, sentant qu’il commence à se crisper je le retire de ma bouche et commence à le branler. Effectivement quelques instants après il gicle en grosses saccades sur le tapis. Je suis un peu frustrée de voir que mon partenaire m’abandonne, mais je profite du spectacle, comme tous les autres, malgré tout…Et je photographie discrètement avec mon portable les différents acteurs de cette scène.

Samia est assise sur son blondinet de partenaire et elle est en train de s’empaler et de jouir en faisant profiter tout le monde de son bonheur par ses cris! Nina, maintenant, suce son partenaire Black tout en se faisant sodomiser, accroupie sur l’autre gars, face à nous, en écartant sa chatte au maximum, pour qu’il n’y ait aucun doute sur de ce qu’elle est en train de subir...

Et puis mon regard est attiré par une jeune femme, nue, très brune, de 32 – 33 ans environ, avec de tout petits seins, une toison particulièrement fournie, noire aile de corbeau. Je la regarde en me disant que je l’ai déjà vue. Puis cela me revient d’un seul coup ! Evidemment ! C’est l’infirmière, son nom est Mélissa, c’est elle qui venait faire les soins à domicile l’hiver dernier, quand ma grand-mère était chez nous ! Incroyable ! Elle paraissait si douce et si sérieuse ! Elle parlait même de ses enfants et de son mari presque à chaque fois à mamy, qui avait fini par trouver qu’elle était un peu casse-pieds pour finir ! En ce moment la jolie et sage Melissa est en train de mater de près Nina qui maintenant se fait prendre en même temps par les deux garçons, toujours assise sur l’un pendant que l’autre la baise par la chatte. Ça à l’air d’exciter beaucoup la petite infirmière qui se masturbe accroupie de façon frénétique sans perdre une seule miette de la scène.

Samia a fini de jouir et semble somnoler dans un coin de canapé. Je vais la rejoindre. J’ai du mal à la trainer jusqu’à la douche, mais celle-ci lui fait du bien et elle émerge quand même sous l’action de l’eau fraiche. Elle se rhabille et moi aussi, après avoir récupéré mon bijou où je l’avais caché.

Samia : « Dis ! On ne reste pas ! Je n’ai pas envie d’être le paillasson de tous ces mecs ! »

Moi : « Tu dis ça parce que tu t’es bien éclatée et que tu as joui comme il faut ! Espèce de salope ! »

Samira : « Putain ! Il en avait une super grosse ! Trop bien ! Et toi tu l’as fait ? »

Moi : « Tu parles ! Cette chienne de Nina ! Elle a tout pris pour elle ! Et moi, juste une petite suce ! Au fait tu as remarqué une nana brune qui matait ? C’est une infirmière genre bobo qui fait du domicile, elle habite tout près de chez moi ! »

Samia : « Ah bon ? Montre la moi s’il te plait ! » Nous retournons discrètement dans la salle et je cherche Melissa du regard. Je finis par l’apercevoir à genoux sur le tapis, cuisses écartées. Elle suce un mec pendant qu’un autre la masturbe et lui enfile les doigts dans la vulve. Elle a l’air complètement absente, les yeux révulsés, de la salive coule de sa bouche.

Moi : « Tu la vois ? Celle avec les deux mecs, avec la super chatte noire ! Elle se fait fister maintenant regarde ! »

Samira : « Oui je la connais aussi ! Elle est allée à l’école avec ma cousine ! Je suis même allée plusieurs fois avec elle chez ses parents, il y a quelques années ! J’imagine leur tête s’ils voyaient leur fille unique en train de se faire mettre le poing dans la chatte ! Vite ! Je ne tiens pas à ce qu’elle me voit ! On se tire.

Moi : « On se tire comment ? On est loin de tout ici ! »

Samira : « J’appelle mon oncle. Il va venir avec sa voiture t’inquiète ! »

Une heure plus tard effectivement, j’étais dans ma chambre, allongée dans mon lit. J’avais encore ma « virginité ». Mais en fin de compte je n’étais pas trop déçue. Je me suis dit qu’il était écrit que ce ne serait pas ce soir !

Je suis restée sur ma faim, malgré tout et pour me calmer j’emprunte une fois de plus les toys de maman. Mon choix se porte sur un gros gode à ventouse et dans la salle de bain (j’aime bien le faire dans cette pièce car je peux me voir dans un miroir) en me pénétrant par devant et ensuite par derrière en me masturbant, j’arrive à me faire jouir assez vite et cela me permet d’être calme ensuite.

Je réfléchis et décidais de regarder l’avenir qui allait, j’en étais certaine, me réserver plein d’autres bonnes choses. Des plaisirs sexuels que j’espérais très vivement, mais je me disais que j’étais plus tentée par le « plaisir cérébral » que par des « plaisirs uniquement physiques ». Il fallait absolument que je me trouve un homme, un initiateur à la hauteur de la tache et de la barre que j’avais décidé de placer très très haut !

 

Par nadiaberg - Publié dans : adolescence
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Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 18:20

J’étais en 4ème au collège et nous étions en juin 2009, j’allais avoir 13 ans dans quelques jours et comme tous les élèves de ma classe je participais à un stage de découverte en entreprise de 2 semaines.

Je dois encore expliquer que depuis ma découverte des films X presque deux ans auparavant, je me masturbais très souvent, parfois plusieurs fois par jour. Soit directement en visionnant les films, soit le soir dans ma chambre en me les repassant dans ma tête. Mais depuis un peu plus d’un an maintenant  j’utilisais aussi des toys.

Ma mère m’avait dit où elle mettait la clé de son placard secret qui se trouvait sur un palier et je pouvais choisir les films quand j’en avais envie. Il arrivait que maman me voit aller au placard. Au début cela me gênait et je ne le faisais pas devant elle, mais par la suite, voyant qu’elle ne faisait aucun commentaire, sa présence m’était indifférente.

Un après midi, en mai 2008, alors qu’elle était absente j’allais au placard une fois de plus et je m’aperçu qu’une malle qui se trouvait là, parmi des quantités d’objets divers (machine à coudre, chaussures, lingerie, vêtements d’hiver etc.)  était restée entrouverte. Elle fermait avec un code à 4 chiffres que je mémorisais immédiatement : 9669.

J’ouvris cette valise métallique qui contenait plusieurs cartons à chaussures remplis de photos dans des enveloppes marquées de dates, parfois très anciennes : Années 1970, 80 et 90.

Elle contenait aussi  un vieux vanity avec une collection complète de sex-toys. J’en avais vu dans les films pornos, mais jamais en vrai ! Il y en avait de toutes les formes et de toutes les tailles. Pour certains objets, je ne savais même pas à quoi ils pouvaient bien servir. Je me dis que j’allais regarder sur internet pour me renseigner.

Je trouvais également des gels intimes, des préservatifs de toutes sortes et de nombreux sous vêtements très sexy et osés (slips fendus, strings, guêpières, porte-jarretelles, soutiens gorges sans bonnets, bas à résilles etc.). Des objets tels que des menottes, des cravaches, des pinces à seins de toutes tailles. Et puis une clé USB dans un étui de cuir.

Pour moi c’est comme si j’avais trouvé le trésor d’Ali Baba ! Et puis, je me rendais enfin compte que ma mère était une salope et peut être même une prostituée !

La clé USB que j’avais immédiatement mise sur mon pc contenait des centaines de photos et des dizaines de vidéo que je téléchargeais dans un dossier caché en remettant à plus tard l’exploration complète de tous ces documents.

Depuis un an maintenant je me servais des toys de ma mère à chaque fois que je me masturbais, quand elle n’était pas là. Après avoir regardé les sex shop sur internet, j’étais devenue une spécialiste des divers objets et de la manière de m’en servir...

Progressivement entre 12ans et 13 ans j’arrivais presque tous à les utiliser. J’avais commencé par les plus fins comme les vibros et de minuscules anus picket. Semaine après semaine, mois après mois je passais aux tailles au dessus. 

Depuis quelques jours je me rendais à un stage avec un kinésithérapeute. J’avais réussi par relation, un médecin qui connaissait maman, à obtenir un stage dans une maison médicale. J’avais l’intention à cette époque de devenir infirmière, kiné ou sage-femme

C’était un monde très nouveau pour moi que celui de l’entreprise médicale et je n’arrivais pas trop à me situer pendant  la première semaine. Mais le kiné qui était mon maître de stage, qui avait environ 45 ans était assez cool. Il avait une collègue  mais qui était en congés. Il travaillait avec les médecins du groupement médical, ainsi qu'avec les autres personnels paramédicaux. Moi, je tachais de l’aider au mieux dans les tâches administratives et informatiiques du poste.

De cette façon je fis la connaissance d’un garçon de 17 ans, Simon qui faisait également un stage (mais lui de plusieurs mois avec lesinfirmières) que je trouvais immédiatement super mignon, grand brun et très à l’aise avec les filles. Je pense qu’il avait flashé sur moi aussi et très vite il me proposa d’aller boire un pot un soir après le travail, ce que j’acceptais sans aucune résistance.

Guillaume, "mon" kiné me plaisait bien aussi, il était très sportif, mince et bien foutu. Vu la différence d’âge, je pense qu’il n’imaginait même pas une seconde que je l’envisageais.

A cette époque, en y repensant aujourd’hui que j’ai 18 ans, je me dis que n’importe quel mec pas trop mal, avec un peu de tchatche aurait pu m’avoir et faire ce qu’il aurait voulu de moi...

Un après-midi, dans les derniers jours, je fis tout mon possible pour qu’il comprenne ce que je voulais.

 (Je portais un plug (une sorte de cône métallique avec un bijou en forme de fleur  sur la partie extérieure qu’on se place dans l’anus et qui donne des sensations quand on marche), c’était assez habituel pour moi car je le mettais aussi très souvent pour aller en cours. Le seul problème avec c’est que ça me fait énormément mouiller.)

Profitant de la pause du déjeuner, au cours de la conversation, je dis à Guillaume que j’avais mal au dos depuis quelques jours. (à 13 ans j’étais presque aussi grande (en fait pas très grande….) et formée qu’aujourd’hui. J’étais peut être un peu plus ronde, mais sinon je ne me sentais plus du tout une petite fille).

Il me questionne quelques instants en me demandant des explications sur ces dorsalgies, si c’était survenu progressivement ou soudainement, si c’était la 1ère fois etc. Puis, de retour au cabinet, il me demande de me mettre debout et de me pencher en avant lentement et de lui indiquer à quel moment je commence à avoir mal et à quel endroit exact. Je luis dit que la douleur la plus vive est au niveau des reins, mais qu’elle se propage également dans la fesse et sur le devant  de la cuisse droite et que j’ai mal dès l’instant ou je commence à me pencher.

Cette douleur est survenue le w. end précédant alors que je chahutais avec des cousins.

Il me fait entrer dans le cabinet de massage et me dit d’enlever ma blouse et mon pantalon et de m’installer sur la table de massage pendant qu’il va chercher la lampe infrarouge.

Je me déshabille. En culotte et soutien gorge je m'allonge à plat-ventre sur la table.

Guillaume  revient et dirige la lampe au niveau de mes reins en me demandant d’essayer de me décontracter le plus possible. Il précise qu’ensuite, après un ¼ d’heure de lampe, il me massera.

Le temps écoulé il revient, me demande de me remettre debout et d'enlever mon slip et de m' allonger à nouveau sur le ventre.Je m’aperçois qu’il ne quitte pas mon pubis des yeux, laissé naturel et qui dépasse des élastiques de ma culotte.

Je fais glisser ma culotte. Je reste debout devant lui quelques instants et demande si je dois enlever également mon soutien gorge.

G : « Oui autant l’enlever dès maintenant , je vais te faire un massage complet ». Il rajoute une fois que j’ai enlevé le haut : « Dis moi, tu as quel âge exactement ? » Je réponds que je vais avoir 13 ans la semaine suivante. Il répond : « 13 ans ? Je n’en reviens pas ! Franchement je t’aurais donné 15 ou 16 ans sans problème ! Il ya des femmes de 25 ans qui aimeraient bien avoir la poitrine que tu as et le reste aussi ! ».

Je ne réponds rien et je m’installe allongée sur lat able. Guillaume me place un coussin sous le ventre car comme je suis cambrée il dit que c'est nécessaire, pour soulager le bas de mon dos.

Mon anus picket doit se voir dans cette position, mais je m’en fiche, au contraire. Je veux juste  connaître sa réaction.

Guillaume ne réagit pas à la vue de mon bijou anal.

Il me masse le dos des épaules aux reins d’une façon très agréable et très professionnelle. C’est vraiment très agréable et je commence à me relaxer totalement en arrivant à faire le vide dans ma tête, ce qui m’arrive très rarement.

Au bout d’un moment il me demande de soulever un peu le bassin et il passe sa main gauche sous mon ventre, au niveau de mon pubis et me masse les reins de l’autre main en appuyant très fortement.

Sa main englobe totalement ma chatte maintenant et lorsqu’il passe l’autre main dans le bas de mon dos, ses doigts appuient sur mon clitoris. Je ne peux pas m’empêcher de gémir légèrement. Je sens que je commence à mouiller.

G : « Je te fais mal Nadia ? »

Moi : « Un peu, oui mais c’est supportable »

G : « Ma main sous ton ventre, c’est cela qui est douloureux ? »

Moi : « Non, c’est plus quand vous appuyez très fort sans le creux de mes reins avec l’autre main »

G : « Très bien. Mets-toi à genoux sur la table, je vais t’apprendre un exercice que tu devras faire chaque jour pour ton dos.

Je m’agenouille sur la table de massage et il se place debout à côté de moi, il me met une main sur les reins et l’autre sous le ventre et explique.

G : « Tu dois faire le dos rond depuis la nuque jusqu’aux fesses et tu comptes jusqu’à 10. Ensuite tu te cambres au maximum en redressant la tête et en pointant le menton vers le plafond, tu sors les fesses le plus possible et tu comptes encore jusqu’à 10. Essaye ! »

J’essaie de faire du mieux possible, comme il m’a expliqué, mais quand je fais le dos rond, en regardant entre mes jambes je m’aperçois que j’ai laissé une grosse tâche sur le drap en papier…

G : « Ne garde pas les genoux aussi serrés, écartes-les jusqu’aux bords de la table Nadia, tu verras c’est beaucoup mieux et cambres au maximum, fais ressortir tes fesses! Regarde le plafond !»

Il tourne doucement autour de la table pendant que j’alterne les positions dos rond et extensions. Puis il s’arrête derrière moi, me donne une petite claque sur les fesses en disant :

G : « Joli bijou ! C’est pour faire plaisir à ton copain ? »

Moi : (en me rallongeant sur la table) « Merci pour le compliment, mais je n’ai pas de copain.»

G : « Ah ! C’est juste un plaisir personnel alors ? »

Moi : « Oui si on veut ! J’aime bien le mettre c’est tout ! »

G : « Ok ! Ok ! Rien ne me choque et je trouve cela original, mais avoue que je peux être étonné quand même ? Tu savais bien que j’allais le voir pendant le massage. D’habitude ces genres de toys sont utilisés par les femmes mures !

 Moi : « Oui mais ce n’est pas interdit je pense ? »

G : « Non ce n’est pas interdit. Ce qui est interdit ce sont les relations sexuelles avec les moins de 15 ans Dit-il en riant Bon ! Le massage est fini ! Tu te sens mieux ? » 

Moi : « Oui ça m’a beaucoup décontractée et j’ai moins mal !

G : «en clignant de l’œil  Je suis content de t’avoir fait plaisir »

Moi : « en souriant Oui j’ai bien aimé certaines techniques de votre massage et j’espère pouvoir en bénéficier encore une autre fois ! »

G : « Tu es vraiment une petite coquine toi ! Tu sais en attendant tes 15 ou 16 ans, je suis photographe amateur et peut-être que tu serais d’accord pour poser pour moi ? En échange de massages ?

Moi : « Pourquoi pas ? Quel genre de photos ? « 

G : « ça reste à définir ensemble…Les vacances arrivent et tu peux venir en discuter un de ces jours si tu veux ?

Moi : « Je peux venir vous voir où ? (En souriant d’un air coquin) Chez vous ?

G : « J’ai un endroit plus tranquille (il sourit aussi) ma cabane de pêche, pas très loin de Rennes.

Moi : « Je suis d’accord. Je vais vous laisser mon adresse mail et vous pourrez me contacter si vous ne changez pas d’avis ! En riant C’est bien payé ?

G : « Effectivement ça peut ! En fonction des photos ! Plus c’est coquin et mieux c’est payé ! On en discutera si on se revoit alors ? Promis ?

Moi : « Promis ! »

Aujourd’hui c’est mon dernier jour de stage et j’ai rendez-vous avec le beau Simon.

Lundi l’école reprend pour encore 15 jours !

 

Par nadiaberg - Publié dans : adolescence
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Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 08:30

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Myriam
par nadiaberg

Par nadiaberg - Publié dans : ma mère
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Samedi 19 juillet 6 19 /07 /Juil 08:31

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Myriam (2009 ou 2010)

 

Je suis née le 18 juin 1996. J’ai attendu patiemment mes 18 ans, pour pouvoir raconter mon histoire sur un blog qui ne soit pas censuré.

C’était en novembre 2010 et j’avais 14 ans. J’étais au collège en classe de 3ème.

Cette fin d’après-midi là, après les cours, je devais me rendre comme chaque semaine à la danse avec une amie. J’adorais la danse classique et j’en faisais depuis la 6ème.

Nos parents nous y accompagnaient et revenaient nous chercher vers 20h chacun leur tour. Cette semaine c’était le père de ma copine qui avait pris sa voiture.

Mais, mes règles mensuelles ont débarquées plus tôt que prévu et ne pouvant évidemment danser dans cet état, j’ai demandé au papa de Mélissa de me raccompagner chez moi, prétextant une migraine.

Il me déposa gentiment à la maison. Maman n’était pas encore rentrée de son travail mais j’avais ma clé.

Fox mon Labrador bondit de joie en me voyant rentrer si tôt mais je n’avais pas la tête à jouer avec lui.

Je pris un bain bien chaud car j’avais des frissons par ce temps glacial et venteux de novembre. L’eau du bain me réchauffa. J’enfilais ma robe de chambre, de grosses chaussettes et je m’installais dans le fauteuil de ma chambre. Le fait de m’appliquer le tampax me réveilla l’envie de me toucher comme à chaque fois et je me mis à me  tripoter le clitoris et à jouer avec mon applicateur.

 

Pour expliquer un peu, je dois dire que j’ai commencé la masturbation solitaire vers 11 ans après avoir visionné un film X que ma mère avait oublié de retirer du lecteur. Elle m’a surprise en train de me caresser sur le canapé devant la télé. Je ne l’avais même pas entendu arriver tellement j’étais fascinée par le spectacle du porno. J’avais retiré ma culotte et me frottais la chatte avec la main tout en me tripotant les tétons.

A cette époque je commençais juste à avoir quelques poils blonds sur les grandes lèvres et le pubis. Ma poitrine était encore minuscule, grosse comme des œufs sur le plat.

Maman me dit simplement en me regardant d’un drôle d’air « ça t’intéresse déjà ces choses là Nadia ? » et elle regagna sa chambre sans rien dire de plus. Moi, rouge comme une pivoine je n’osais plus bouger du canapé, honteuse qu’elle m’ait surprise.

 Elle fit comme si rien ne s’était passé ce soir là et ne m’en reparla pas. 

Quelques jours plus tard elle avait du y réfléchir à la manière dont elle devait traiter l’affaire, elle me relança:

-« N’ai pas honte pour l’autre fois tu sais… Toutes les filles le font ! Moi la première ! »

Je fis semblant de ne pas comprendre et je dis -« Font quoi ? »

-« Se masturber… Se caresser les parties intimes si tu préfères, C’est naturel et normal… Depuis quand tu le fais ? J’aimerais bien que tu me le dises tu sais ! Tu le fais souvent ? » Je lui répondis que c’était la première fois et que c’était en voyant le film que j’avais eu envie de le faire et que si elle n’avait pas laissé le dvd dans le lecteur ce ne serait pas arrivé.

Je lui demandais  -« et toi tu le fais souvent ? Et depuis quel âge ? ».

Elle dit « j’ai commencé à peu près comme toi et je le fais aussi souvent que j’en ai envie car c’est naturel de le faire !

Mais gardes-ça pour toi ça ne regarde personne d’autres car c’est intime et ce sera un secret entre nous si tu veux bien ? Elle rajouta à ma grande surprise : « Si tu veux regarder d’autres films quand tu seras seule, je suis d’accord, car moi j’ai souffert de devoir les regarder en cachette et je ne veux pas que ce soit la même chose pour toi. Je te dirai ou je cache la clé du placard où je les range ». Je répliquais simplement sans rien ajouter de plus « d’accord ! » Et dans les jours, les mois qui suivirent, le X devint ma grande passion. Chaque jour je regardais un film que j’allais chercher dans le placard secret de maman et je me masturbais très souvent et même parfois plusieurs fois par jour jusqu’à mes premières relations sexuelles à 13 ans.).

 

J’étais presque arrivée à jouir quand j’entendis la clé dans la serrure. Je me réajustais très vite en me demandant pourquoi maman rentrait si tôt car il n’était même pas 17h ! Mais elle n’était pas seule. Je l’entendis qui parlait à Fox pendant quelques instants puis elle l’enferma au garage et de retour dans la pièce dit « Bon et bien je suis à votre disposition… ».

Je sors de ma chambre en glissant à plat ventre sur le parquet et du haut de la mezzanine et jette un coup d’œil à travers la balustrade, dans le salon-salle à manger juste en dessous.

Maman est assise sur le canapé et il y a trois hommes debout près d’elle. Elle porte encore son manteau et a les jambes croisées on voit ses cuisses et son porte-jarretelles.

Un homme d’environ 50-60 ans, petit, avec une moustache se trouve de l’autre côté de la table basse, face à elle sur un fauteuil. Deux autres hommes plus jeunes sont un peu en retrait: Le premier d’environ 30 ans, typé maghrébin, athlétique et un autre plus jeune, 20-25 ans, blond, mince, grand que je trouve pas mal du tout.

Le plus âgé demande aux deux autres d’installer une caméra sur pied et un système d’éclairage parapluie et de fermer les rideaux de la pièce.

Ma mère l’interpelle : « Je ne savais pas que vous alliez filmer dès aujourd’hui ! Ce n’était pas précisé ! » Il répondit « Si ! Tous les entretiens et les castings sont systématiquement filmés. Notre direction l’exige. D’ailleurs je vais vous demander de lire avec attention ce contrat que j’ai apporté et de  signer les deux exemplaires si vous êtes d’accord avec le contenu».

Je vois maman tendre la main pour saisir les feuillets et commencer à lire avec attention. Au bout de quelques longues minutes Elle dit « C’est d’accord mais juste une précision : Vous avez les droits de diffusion intégrale des images qui vont être tournées maintenant? » L’homme à la moustache répondit affirmativement « Oui les images appartiennent à la société de diffusion pour le monde entier, mais elles ne pourront être diffusées que si vous êtes d’accord et après avoir été rémunérée après le tournage et le montage des films, si vous en faites un».

A cet instant je comprends ce que ma mère fait là avec ces hommes. Elle doit tourner un film porno et ils sont là pour la tester : En quelque sorte c’est comme un casting de cinéma.

Je ressens des frissons d’excitation dans tout le corps, mais en même temps un sentiment de honte vis-à-vis de ma mère mais je suis médusée et je continue à regarder intensément la scène qui se déroule juste en dessous de moi.

L’homme à moustache dit « appelles-moi Henry et voila Kader et Mario. Toi c’est Myriam c’est ça ? (je remarque qu’il tutoie maintenant…) Je regarde un instant le dossier… Tu es plus branchée soumission et humiliation d’après le questionnaire que tu nous as renvoyé, pas trop maso…Tu n’as mis aucune restriction stricte par rapport aux scènes que tu ne souhaites pas tourner ? On est d’accord ? Il est encore temps de me le dire. Tu as lu et signé le contrat, comme tu l’as vu, je vais te faire un premier chèque et tu ne pourras plus changer d’avis ! Tu dis quoi ? »

Ma mère dit « qu’elle pensait que c’était bien clair pour elle. Elle s’était déjà engagée par écrit, avec la personne qu’elle avait rencontrée initialement pour faire ce casting et qu’elle avait accepté le principe de tourner toutes les scènes pornos qu’on allait choisir pour elle, et elle ne comprenait pas pourquoi maintenant on lui posait de nouveau toutes ces questions. »

Henry : « Ok ! Parfait ! On va commencer immédiatement alors ! Dans un premier temps, je te le rappelle, ce sera un questionnaire auquel je te demande de répondre en toute sincérité, si tu ne dis pas le vrai, tu finiras par dire n’importe quoi et on sera obligés de tout reprendre, ce que je ne souhaite pas du tout ! Nous sommes en tournage dès demain et depuis la Bretagne ce n’est pas la porte à côté ! Tu es sur qu’on ne sera pas dérangés ? On peut y aller ? »

Maman : « On ne sera pas dérangés, je vis seule avec ma fille et est à la danse. Elle ne rentre pas avant 20h30. »

Henry : « Je te pose les questions et tu réponds direct d’accord ? Ne réfléchis pas trop à ce que doit être la bonne réponse, soit sincère et ce sera réaliste! Ok ? » D accord je promets de faire au mieux. »

H : « Mario ! Moteur  caméra ! Tu as quel âge ? » - 39 ans

H : « Tu es mariée ? » - Non, mais divorcée deux fois

H : « Pas de petit ami ? » - Si mais chacun son appartement.

H : « Tu n’as qu’une fille ? Quel âge ? » - Non j’ai aussi un garçon de 10 ans qui vit chez son père en Alsace et ma fille Nadia qui aura 15 ans en juin.

H : « Elle te ressemble ? » - Physiquement ? Non pas du tout ! Moi je suis très brune et elle ressemble à son père, elle est châtain-roux.

(Maman est une femme au physique plutôt ordinaire en fait, et qui passe inaperçue. Elle est brune, les cheveux coupés courts, les yeux marrons,  pas très grande, elle est un petit peu ronde sans être obèse, sa poitrine est de taille moyenne).

H : « Justement on va voir un peu à quoi tu ressembles ! Enlève ton  manteau !  Mais tu ne portes rien dessous ! Seulement un porte-jarretelle et un soutif! Quelle chatte ! En fait, pas de rasage ni d’épilation depuis quand ?» Je laisse naturel depuis plusieurs années.

H : « Pour faire plaisir à ton mec ? - Non je trouve que ça fait plus coquine et j’aime bien comme ça.

H : « Ah bon ça te plait de faire la cochonne ?  Remarque je m’en doutais un peu quand même ! Enlève tout ! » (J’aperçois ma mère qui enlève rapidement ses bas et les portes jarretelles et qui se rassoit sur le canapé.)

H : « Ton soutif aussi. Tu ne veux pas nous montrer tes nichons ? » Elle enlève le soutien gorge sans répondre.

H : « effectivement ça tombe pas mal, mais ce n’est pas si mal que ça après deux grossesses! Ecarte les cuisses qu’on voit ta chatte comme il faut ! Ok ! Il y a de la place hein ! Tourne-toi ! Montre ton cul. Pas mal non plus! Anus très large ! Tu pratiques régulièrement la sodo ? - Oui j’aime bien tout.

H : « Vu ton cul, je pense que tu as les outils pour t’entretenir non ? -Oui, j’ai des godes.

H : « Quel genre ? » - De tout, presque toutes les tailles et toutes les formes.

H : « Je veux que tu t’ouvres la chatte en grand avec les mains quand tu réponds aux questions. Ta chatte doit toujours rester grande ouverte. C’est compris ? »  -Oui j’ai bien compris.

H : « Oui Maître ! » -Oui Maître j’ai compris.

H : « Tu as commencé à te branler à quel âge ? » - Vers 10 ou 11 ans.

H : « Quelqu’un t’a montré ou tu as eue l’idée toute seule ? - J’ai eu l’idée avec les films pornos, personne ne m’a montré sinon.

H : «  Et les godes ? » - J’ai commencé à l’adolescence vers 13 ans mais pas avec des godes, c’étaient des flacons de toilette, des bouteilles, parfois des légumes. Je ne savais pas comment m’en procurer à l’époque. Maintenant avec internet c’est facile.

H : « C’est quoi le plus gros que tu te sois mis? Quel diamètre ? » - Mon fister-gode qui fait un peu plus de 7cm.

H : « Ca remplit bien la chatte dis-donc 7cm ! Et sinon le plus gros, mais autre chose que des godes ? - Des tubes pour le rangement des balles tennis et de base-ball. La main aussi.

H : «Je vois ! Tu es une adepte du fist fucking? Mais tu commences à tacher ton canapé ! Et par le cul tu te godes aussi? » (Maman se lève pour prendre un mouchoir et s’essuyer entre les cuisses, se rassoie et elle prend soin d’écarter ses grandes lèvres avant de répondre) 

(je suis excitée un maximum de l’entendre répondre sans aucune pudeur à toutes ces questions. Mais je me dis qu’y répondre soi-même ça doit être encore cent fois plus fort comme plaisir et comme sensations).

- J’arrive parfois à me goder par derrière avec le fister-gode mais en général je me sers de mes gros godes  réalistes.

H : « Tu es vraiment une bonne salope en fait ! Mets toi allongée sur le tapis, Kader, vire-moi la table et ces chaises. Ensuite tu lui mets les pinces à seins, (Kader avec Mario enlèvent tous les meubles du tapis et ma mère s’allonge sur le dos au milieu de la pièce, ensuite Kader prend deux grosses pinces à boules qu’il lui accroche sur les tétons. Elle gémit assez fort).

H : « Mets toi assise sur ce plaid, sinon tu vas salir ton beau tapis ! Cochonne ! (Maman s’allonge sur le plaid)

H : « Tu mouilles encore plus non ? » -Oui mais ça fait trop mal !

H : « Tu vas t’habituer t’inquiètes ! Ouvre bien ta chatte ! » - Oui Maître.

H : « Tu as déjà baisé à plusieurs je suppose ? » - Oui Maître.

H : « Double pénétration ? Détailles-moi » - Oui Maître. Toutes les doubles pénétrations.

H : «  Je te dis de préciser ! » - Double vaginale, double pénétration  vagino- anale et quelquefois double anale.

H : « La totale quoi ! J’aurais plus vite fait de te demander ce que tu ne fais pas ! On gagnerait du temps je crois ! Tu es vraiment une bonne toi ! Et en plus tu aimes ça !

H : « La sucette tu pratiques bien sur ? Remarque toutes les femmes le font ! Mais est-ce que tu avales ? » - Non je n’avale pas ! Je déteste et puis il y a des préservatifs non ?

H : « Si tu avais bien lu les clauses tu aurais du voir que pour les pipes c’était sans capote ! » - De toutes façons je ne le fais pas dit ma mère.

H : « Et ta fille Nadia ? Tu crois qu’elle se branle elle aussi ? Maman a un instant d’hésitation puis elle dit : Oui je pense qu’elle le fait parfois. (Comme la question me concerne directement je commence à mouiller comme une fontaine et je mets ma main entre mes cuisses)

H : « Tu t’en doutes ? ou tu l’as vue ? Mets-toi à genoux, Kader mets-toi derrière et tu l’encules quand je te le dis Ok ? Myriam, grosse truie ! Écarte bien les cuisses et la chatte. Réponds salope !  Est-ce que tu as vu ta fille se branler ?» - Oui Maître, je l’ai vue et entendue.

H : « Et ton fils ? Tu dois l’avoir sucé quand il était plus jeune ? Toutes les cochonnes de ton genre le font ! Kader encules-la ! (Je vois Kader derrière elle qui lui passe son gros sexe plusieurs fois entre les fesses et qui s’enfonce en elle d’un seul coup jusqu’aux couilles, elle crie « - Ah c’est bon de se faire enculer comme ça ! »)

H : « Alors tu l’as sucé ? Mais dis-le salope ! Maman ne répond pas et continue à gémir très fort, tout en continuant à écarter sa chatte des deux mains ; mais je ne sais pas si c’est de douleur ou de plaisir… Certainement les deux.

H : « Mario tu lui mets le collier de chien et tu prépares le speculum » Puis il s’adresse à Kader « Attaches lui les mains avec les bracelets et tapes lui un peu sur les fesses» Kader enlève son sexe de l’anus de ma mère qui tombe, couchée à plat-ventre sur le tapis, puis il lui saisit les mains et lui attache dans le dos avec des sortes de menottes et lui donne quatre ou cinq bonnes claques sur les fesses qui la font crier, pendant que Mario lui place un collier de chien en cuir autour du cou et dépose un long objet métallique à côté d’elle.

H : « Tiens la court à la laisse Mario et toi Kader  remonte-lui les bras dans le dos, comme ça elle ne bougera plus » Il s’adresse à Myriam en lui mettant l’objet métallique juste devant le visage : »Tu connais ? Je pense que oui ! Mais celui-ci c’est la taille au dessus tu vois ? 27 cm de long et 7 cm de largeur. Pour les chevaux ! C’est fait exactement pour toi en fait ! » Elle essaye de dire quelque chose que je ne comprends pas car son collier doit la serrer.

(A ce moment là je ne supporte plus la scène et je regagne ma chambre à plat ventre et la tête dans un oreiller je commence à pleurer, j’entends à peine le bruit des voix en sourdine qui montent de l’escalier. Au bout d’un moment je me calme. Mon excitation  et mon envie de voir la suite  étant les plus fortes je retourne à mon poste après m’être complètement déshabillée)

Ma mère est toujours à genoux, allongée sur le plaid, elle ne dit plus rien, mais je l’entends d’ici respirer très fort et gémir un peu. Je vois que le gros speculum est introduit presque complètement dans son vagin et Henry, derrière elle, est en train de tourner la molette doucement. Ca dure pendant un bon moment, puis se il relève en disant : « Elle le prend quasiment entier sans rien dire ! Et pourtant il est ouvert à fond je crois ! Essaies Kader pour voir, tu as plus de force ». Ma mère avec des sanglots dans la voix dit « Vous allez me défoncer ! Arrêtez ! » Kader tourne encore 2 ou 3 fois le papillon et dit « Il est ouvert au maxi monsieur, on peut lui mettre le poing dans la chatte sans toucher les bords, une vraie jument ! ». Et il joint le geste à la parole et introduit sa main fermée jusqu’à mi-coude dans l’engin, sans forcer, sans même que son poing touche les parois en inox.

H : « Elle a l’air de bien supporter malgré tout. Myriam tu n’auras plus besoin d’écarter la chatte avec tes mains maintenant, elle restera grande ouverte toute seule ! »

Ma mère ne dit rien, elle gémit toujours un peu de façon continue, elle me fait penser à un chat qui ronronne.

(Moi je me branle comme une folle. Je m’écarte la chatte avec les deux mains, imaginant que je suis à la place de ma mère, devant ses trois hommes qui feraient ce qu’ils veulent de moi.

A cet instant je sais que moi aussi j’ai envie d’être humiliée et forcée, prête à tout pour m’exciter le plus possible, à jouir,  sans limite et sans tabou).

Au bout d’un long moment Harry dit : « Retire-lui le machin Kader » ! Kader lui enlève le speculum qui coule sur le plaid et maman toujours tenue en laisse par le cou et les mains dans le dos,  tombe à plat ventre.

H : « remets toi en levrette jolie cochonne tu vas en prendre encore ! » Maman ne dit rien. Elle se remet à genoux, les cuisses écartées et nous montre son vagin distendu et son anus sans aucune pudeur.

H : « Mario mets lui ta queue dans la bouche. Mario baisse son slip et lui met son sexe en érection devant le visage. Il tire un peu sur la laisse et ma mère happe son membre avec ses lèvres et commence à sucer avidement.

Kader lui enlève les menottes pour qu’elle puisse se tenir en avant sur les mains, il se place derrière elle et accroupi sur ses reins et lui enfonce comme tout à l’heure son énorme sexe dans l’anus. Maman a un râle, étouffé par le sexe qu’elle a dans la bouche.

Je vois très bien par derrière les fesses et l’anus poilu de Kader qui la sodomise violemment. Henry pendant ce temps a enfilé des gants en latex bleu et sans plus attendre, lui introduit le poing droit dans le vagin. Cette fois ma mère relève la tête avec une sorte de long rugissement, sa bouche ignore le sexe de Mario quelques instants pour profiter au maximum de cette double pénétration hors norme. Henry rentre très vite le poing ganté le plus profondément possible et le retire aussi vite, pendant que Kader la sodomise en un va et vient qui affole ma mère.

Elle bouge, crie se débat, dit qu’elle adore qu’elle va jouir mais dit aussitôt que c’est trop, qu’ils vont la défoncer, elle dit « assez ! je n’en peux plus » Mais je la vois reprendre en bouche le sexe de Mario qui se branle en même temps. Il la tient serré avec la laisse et par les cheveux pendant que Kader s’est tourné dans l’autre sens et continue à l’enculer de haut en bas, ce qui lui permet d’écarter les fesses de  Myriam et de voir le fisting d’Henry.

Puis Mario lâche la laisse et il tient Myriam à deux mains par le collier. Il dit « Je viens, je vais jouir, continue, suce-moi à fond ! » et je le vois agité de 3 ou 4 spasmes pendant qu’il éjacule dans sa bouche. Elle lui tient le sexe d’une main et le masturbe pendant qu’elle continue à sucer et à avaler jusqu’à la dernière goutte sans quitter Mario des yeux.

Henry sort sa main une dernière fois de sa chatte pendant que Kader prend son pied presque en même temps que Mario. Elle tombe en avant sur le tapis comme désarticulée sans un mot.

Moi aussi j’ai joui en solitaire en regardant cette scène de folie. Je file dans ma chambre et me rhabille très vite.

Quand je retourne à mon point d’observation, plus rien ne traîne dans la pièce : La caméra a disparu, les meubles ont repris leur place, Kader et Mario ne sont plus là. Ma mère qui est toujours nue discute calmement avec Henry comme si rien ne c’était passé.

H : « Je suis très content pour une première fois et je pense qu’on pourra faire un truc bien avec les prises. Et toi comment avez-vous vécu les choses ? Vous n’avez pas trop de douleurs ?

M : « Si j’ai quand même assez mal et je crois que je vais aller prendre un bon bain et me coucher tôt ce soir. Un moment avec le speculum j’ai eu assez peur, mais en fait j’ai fini par me calmer. C’est impressionnant après coup de savoir que j’ai eue toute cette longueur d’enfoncée en moi !

H : « Un peu excitant aussi peut-être ? La prochaine fois vous n’aurez plus peur car vous saurez  à quoi vous attendre !

M : « C’est obligé d’utiliser ce speculum pour juments ?

H : «  Ce n’est pas obligé, mais on gagne du temps quand on veut faire des scènes de fist. On pourrait utiliser un gros gode aussi, mais le speculum ce n’est pas souvent employé car la plupart des femmes refusent. C’est très impressionnant à voir quand tu c’est filmé comme ça, de dos et à quatre pattes. Sinon je voulais vous proposer quelque chose de personnel.

M : « Je vous écoute, dites-moi tout ! »

H : « A titre personnel, je tourne aussi du porno et j’ai un petit studio bien équipe en Belgique. Vous seriez intéressée éventuellement ? C’est très bien payé et tous les frais sont remboursés.

M : « En Belgique ? Pourquoi si loin ? Et ça veut dire quoi très bien payé ?

H : « En Belgique parce que je suis belge ! Bien payé oui mais tout dépend de la prestation ! Je recherche des scènes originales, un peu hors du commun si vous voulez, pour des publics avertis. Je ne tourne pas les films classiques qu’on voit dans toutes les productions X. J’essaie de me démarquer un peu. Les acteurs qui travaillent pour moi sont tous des amateurs dans votre genre, branchés cul que je recrute personnellement.

M : « Laissez-moi vos coordonnées et je vous contacterai pour vous donner une réponse, après avoir réfléchi et d’après les renseignements que vous me donnerez.

H : « C’est convenu comme ça ! Je vous laisse ma carte. Si par ailleurs vous avez une connaissance féminine qui est intéressée ou qui souhaite vous accompagner pour le tournage, faites le moi savoir ! Je suis toujours preneur ! A partir du moment où c’est une femme dans votre genre, sexuellement libérée qui aime prendre du plaisir tout en arrondissant ses fins de mois !

Il se leva et sorti sans que maman ne bouge du canapé. Elle avait l’air fatigué, comme si elle avait fait un marathon !

Elle se releva avec difficulté et se rendit à la salle de bain.

Au bout d’un moment quand l’eau arrêta de couler je descendis de ma chambre.

 Sur la table du salon je remarquais la carte de visite qu’Henry avait laissée.

Je notais l’adresse mail et le n° de téléphone sur mon carnet et sortis de la maison sans bruit. J’allais au café du coin ou les jeunes avaient l’habitude de se réunir. Là j’attendis l’heure où j’étais censée finir mon cours de danse en sirotant un chocolat chaud, avec des milliers de questions et d’idées dans la tête.

 

Par nadiaberg - Publié dans : ma mère
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Lundi 14 juillet 1 14 /07 /Juil 20:33

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